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Le (cyber-)harcèlement, c’est quoi?

Quand on parle de harcèlement, on pense souvent à ce qui se passe dans une cour d’école, un couloir, ou sur les réseaux sociaux. Mais en réalité, que ce soit en ligne ou dans la « vraie vie », le harcèlement, c’est un phénomène grave, complexe, et surtout, à ne jamais banaliser.

Harcèlement VS cyberharcèlement : même combat

Avant tout, le cyberharcèlement est une forme de harcèlement. La seule différence, c’est le canal : il passe par les écrans (smartphones, ordinateurs, réseaux sociaux, jeux en ligne…). Mais dans le fond, il obéit aux mêmes règles, mêmes mécanismes. Les deux peuvent avoir les mêmes conséquences très sérieuses que ce soit pour la victime, le ou les auteurs, ainsi que les témoins.

Harcèlement : une définition simple

Dans les milieux scolaires, associatifs ou psychosociaux, on parle souvent de harcèlement quand trois éléments sont réunis :

  1. Une intention de nuire : même si elle n’est pas toujours clairement exprimée, la personne qui harcèle veut blesser, humilier ou mettre mal à l’aise.
  2. De la répétition : les actes ou propos se répètent dans le temps, ce qui rend la situation pesante ou insupportable.
  3. Un rapport de force déséquilibré : la personne ciblée ne parvient pas à se défendre ou à se faire entendre.

Le harcèlement, c’est donc quand une personne (ou un groupe) s’en prend de manière répétée ou non à une autre personne avec une intention de nuire : en lui faisant vivre des choses blessantes, humiliantes ou violentes, mentalement et/ou physiquement. Il y a toujours une sorte de déséquilibre : la personne harcelée se sent impuissante, sans moyen d’arrêter ce qui lui arrive.

Mais ce cadre général n’est pas toujours celui de la justice.
Le Code pénal belge interdit toute forme de harcèlement (article 442bis) passible d’une peine de 15 jours à 2 ans d’emprisonnement et/ou d’une amende de 50 à 300€ :
 

« Quiconque aura harcelé une personne alors qu’il savait ou aurait dû savoir qu’il affecterait gravement par ce comportement la tranquillité de la personne visée, sera puni d’une peine d’emprisonnement de quinze jours à deux ans et d’une amende de cinquante [euros] à trois cents [euros], ou de l’une de ces peines seulement »

Dans la réforme du Code pénal belge qui rentrera en vigueur théoriquement en 2026, il n’y a plus de distinction entre le harcèlement « classique » et le cyberharcèlement. Les deux sont reconnus comme des formes de harcèlement au sens légal. Il ne sera plus nécessaire non plus que les faits soient répétés pour être condamnés.

En résumé : même un seul acte de harcèlement peut être puni par la loi, surtout si la cible se sent atteinte dans sa sécurité ou sa sérénité. C’est un signal fort : ce n’est pas la quantité qui compte, mais l’impact.

Pour plus d’information sur le cadre légal encadrant les actes de cyberharcèlement, rendez-vous sur notre article « Que faire en cas de cyberharcèlement ? ».

Il peut prendre plein de formes :

●   Verbal : moqueries, insultes, rumeurs, menaces…
●   Physique : coups, bousculades, jets d’objets…
●   Relationnel : ignorer quelqu’un, l’exclure du groupe…
●   Sexuel : blagues déplacées, photos intimes partagées…
●   Matériel : vol ou dégradation d’objets…

Et le cyberharcèlement alors ?

Bien sûr, tout ce qu’on vient de dire peut aussi exister en ligne, via des messages, photos, vidéos ou commentaires.

Le cyberharcèlement, c’est donc du harcèlement via les outils numériques : réseaux sociaux, messageries, forums, jeux en ligne, etc. Il peut prendre plein de formes :

●  messages insultants à répétition
●  diffusion de photos ou vidéos humiliantes
●  création de groupes pour se moquer d’une personne
●  commentaires haineux ou discriminants
●  piratage de compte pour nuire à quelqu’un

Ce qui rend le cyberharcèlement encore plus dur à vivre, c’est qu’il ne s’arrête pas à la grille de l’école : il peut nous suivre partout et tout le temps.

Qui sont les personnes impliquées ?

Le harcèlement, c’est rarement une affaire à deux.

On y retrouve généralement :

●  La personne qui harcèle
●  La personne harcelée
●  Les témoins (car même en regardant sans rien dire, ou en aidant pas la victime, on participe !)

Un « like », un commentaire moqueur, un partage… même si c’est “juste pour rigoler”, ça peut suffire à faire partie du harcèlement.

L’harcèlement en ligne est-il plus grave que le harcèlement classique ?

Même si les mécanismes sont les mêmes, le harcèlement en ligne a quelques caractéristiques qui le rendent encore plus sournois :

●  On se croit anonyme……et du coup, on ose des choses qu’on ne ferait jamais en face. Ça peut désinhiber, faire perdre toute empathie.
●  On ne voit pas la réaction de l’autre : écran = distance. On ne voit pas si la personne pleure, panique ou se renferme. Du coup, on réalise rarement l’impact réel de nos actes.
●  Ça va très vite : en un clic, une photo, un vidéo, un commentaire peuvent être vus, likés, partagés par des dizaines, voire des centaines de personnes.
●  Ça touche un public immense, et même des inconnus peuvent s’y mêler, ce qui renforce le sentiment que « tout le monde est contre moi ».
●  C’est presque impossible à arrêter : un contenu partagé peut rester en ligne des années, même si la personne qui l’a posté le regrette ensuite. La victime, elle, en subit encore les conséquences longtemps après…

Et maintenant ?

Tu l’as compris : le cyberharcèlement n’est pas un problème « virtuel », c’est un phénomène bien réel, aux conséquences parfois lourdes.

Mais surtout, ce n’est jamais une fatalité.
Dans les prochains articles, on va justement parler :

●  des conséquences possibles du cyberharcèlement (mentales, physiques, sociales, scolaires…)
●  et de ce qu’on peut faire si on en est victime, témoin ou auteur·rice

Voir aussi :

    MAJ 2025

    Visites guidées

    Voir la page Musées
    Voir la page Théâtres

    MAJ 2025

    Tu as eu 18 ans ? Bienvenue dans le monde…des impôts !

    Tu as eu 18 ans ? Bienvenue dans le monde…des impôts !

    Declaration d impots

    Si tu as fêté tes 18 ans en 2024, tu es maintenant considéré comme un contribuable à part entière. Cela signifie que tu dois, pour la première fois, déclarer tes revenus. Pas de panique : pour la grande majorité des jeunes, c’est une démarche rapide et sans mauvaises surprises.

    Une déclaration 100 % en ligne

    Tu ne recevras plus la fameuse enveloppe brune. À la place, tu as sans doute reçu une lettre avec des instructions pour te connecter à MinFin, le site officiel de déclaration en ligne. Dans la plupart des cas, l’administration te propose une « déclaration simplifiée ». Il suffit alors de vérifier les informations. Si tout est correct, tu n’as rien d’autre à faire.

    Tu es étudiant et tu n’as pas de revenus ? C’est très simple

    Si tu n’as pas travaillé ou perçu de revenus en 2024, ta déclaration se limite à quelques données personnelles : adresse, état civil, etc. Rien de compliqué. Si tu as eu un job étudiant, le plus souvent, tes revenus sont déjà préremplis grâce à la fiche envoyée par ton employeur.

    Et si tu as gagné de l’argent ?

    Pas de panique là non plus. Tant que tes revenus professionnels ne dépassent pas 15.100 euros par an, tu n’as pas d’impôts à payer. Il peut même être utile de remplir ta déclaration si tu as été prélevé automatiquement : tu pourras récupérer cet argent.

    Les mineurs aussi peuvent être concernés

    Même avant 18 ans, tu peux devoir remplir une déclaration si tu as gagné de l’argent en travaillant ou participé à des activités rémunérées (économie collaborative, travail associatif…). En 2024, 150.000 mineurs ont dû le faire. En général, ce sont tes parents ou ton tuteur qui signent à ta place.

    Tu restes à charge de tes parents ? Pas forcément

    Faire une déclaration ne veut pas dire que tu n’es plus à charge de tes parents. Tout dépend de tes revenus. En 2025, tu restes à leur charge si tu gagnes moins de 7.290 euros nets par an (hors premier job étudiant). Cela permet à tes parents de bénéficier d’avantages fiscaux.

    À retenir

    • Tu fais ta première déclaration l’année où tu as eu 18 ans.
    • Si tu n’as pas de revenus, tu n’as rien à payer.
    • Si tu as travaillé, tu peux rester non imposable jusqu’à 15.100 euros par an.
    • Tu restes souvent à charge de tes parents selon tes revenus.
    • La déclaration se fait en ligne avant le 15 juillet 2025 (mais seulement jusqu’au 30 juin pour la déclaration papier).

    Pour t’aider, consulte le site mapremieredeclaration.be, spécialement conçu pour les jeunes.

    Et consulte notre site pour en savoir davantage sur le job étudiant et les impôts

    Allocation d’études de l’enseignement secondaire : conditions, montants et recours

    Vous trouverez ci-dessous un aperçu des conditions permettant d’obtenir une allocation d’études secondaires pour l’année scolaire 2025-2026. Nous vous indiquons également un aperçu des montants octroyés ainsi que la procédure à suivre en cas de recours.

    Conditions

    Conditions liées aux revenus du ménage

    Les revenus de l’ensemble des membres repris sur la composition de ménage en Belgique de l’élève sont pris en compte.

    Les ressources visées sont :

    • Les revenus imposables globalement, majorés des revenus imposables distinctement (avertissement-extrait de rôle : Revenus 2023 – exercice d’imposition 2024 (SPF Finances/Contributions)).
    • Les allocations et les revenus de remplacement et/ou d’intégration.  
    • Les revenus issus d’une organisation internationale (même si exonérés d’impôts).
    • Les revenus non imposés en Belgique.

    À l’exception des revenus :

    • Du candidat à l’allocation d’études (sauf s’il dispose d’un avertissement-extrait de rôle commun avec un autre membre de sa composition de ménage).
    • Des frère(s) et sœur(s) du candidat, des demi-frère(s) et demi-sœur(s).
    • Des revenus des colocataires et/ou propriétaires d’immeubles donnés en location (kot) du candidat. 

    Revenus maximum

    L’ensemble des ressources ne peut dépasser les revenus maxima suivants (revenus imposables globalement, majorés des revenus imposables distinctement repris sur l’avertissement-extrait de rôle (Revenus – 2023)) :

    Nombre de personnes à chargeRevenus maxima
    024.739,16€
    132.986,93€
    240.716,26€
    347.931,56€
    454.632,64€
    561.333,73€
    Par personne supplémentaire, ajouter6.701,08€

    Conditions liées aux revenus cadastraux et loyers bruts

    Le candidat n’a pas droit à une allocation d’études si le titulaire des revenus pris en considération est propriétaire de biens immobiliers (autres que ceux occupés comme habitation personnelle) dont les revenus cadastraux et les loyers bruts cumulés sont supérieurs à 1.213,76€.

    Conditions liées au cursus éducatif de l’allocataire

    L’élève doit fournir une attestation prouvant qu’il/elle est régulièrement inscrit.e dans son année d’études auprès d’un établissement d’enseignement secondaire de plein exercice.

    Conditions liées à la nationalité

    L’élève doit disposer d’une composition de ménage établie en Belgique à la date de la demande de l’allocation d’études.

    Le ressortissant d’un État membre de l’Union européenne, d’un État partie à l’Espace économique européen ou de la Confédération suisse peut produire un document analogue à la composition de ménage délivré par l’autorité compétente en la matière (situation à la date de la demande de l’allocation d’études).

    Le ressortissant HORS Union européenne doit, en plus, totaliser au moins 5 années de résidence en Belgique au 31 octobre 2025 et disposer d’un titre de séjour valable de plus de 3 mois.

    Pour les réfugiés, apatrides, protection subsidiaire :au 31 octobre 2025, l’élève doit disposer de la qualification de réfugié, d’apatride ou de la protection subsidiaire reconnue par le Commissariat général des Réfugiés et des Apatrides ou par le Conseil du Contentieux des Étrangers depuis au moins un an. Si l’élève est mineur et que le représentant légal est reconnu réfugié, on considère que l’élève l’est aussi.

    L’élève de nationalité étrangère, doit fournir la preuve qu’aucune allocation d’études ne lui a été octroyée par un autre pays.

    Les autres candidat.e.s non repris.e.s dans une des catégories précitées ne peuvent prétendre à une allocation d’études.

    Montants

    Il existe deux types d’allocation : l’allocation variable et l’allocation forfaitaire.
    Le demandeur peut bénéficier de l’une ou de l’autre.

    Le montant peut varier entre 90 et 6.000€.

    L’allocation d’études variable

    Le calcul de l’allocation d’études requiert l’expertise d’un gestionnaire de la Direction des Allocations d’Études formé à l’application de la règlementation en la matière.

    Ce calcul de l’allocation d’études prend en considération :

    • L’ensemble des revenus des membres de la composition de ménage de l’élève fixée à la date de la demande d’allocation d’études.
    • Le nombre de personne(s) à charge repris sur l’avertissement-extrait de rôle.
    • Le fait d’être en internat.
    • Le fait de bénéficier ou non d’allocations familiales (uniquement pour EPSC/infirmière brevetée).

    L’allocation d’études forfaitaire

    Le demandeur peut éventuellement bénéficier d’une allocation forfaitaire sous certaines conditions, notamment lorsque le revenu est modifié par suite :

    • D’un.e séparation / divorce / cessation de cohabitation légale.
    • D’un décès.
    • D’une mise à la pension ou à la prépension.
    • D’une perte d’emploi.
    • D’une période de chômage ou de maladie.
    • D’une médiation de dette.
    • D’une naissance/adoption.
    • Ou d’un changement de statut en tant que « pourvoyant seul ».

    Un forfait spécifique peut également être attribué en cas de perception du revenu d’intégration sociale.

    Dans le cas où le demandeur remplit les conditions d’octroi de l’allocation forfaitaire et de l’allocation variable, l’allocation qui lui est la plus favorable lui est accordée.

    Remboursement

    Le demandeur devra rembourser l’allocation d’études de l’élève, en tout ou en partie :

    • S’il y a ajustement de son allocation.
    • S’il/si elle a obtenu son allocation frauduleusement, sur base de déclarations sciemment inexactes, contradictoires ou incomplètes.
    • Si une allocation à laquelle l’élève n’avait pas droit a été versée, à la suite d’une erreur dans le traitement de son dossier.
    • Si l’élève ne fréquente pas régulièrement les cours ou abandonne les cours.

    Recours

    Si vous n’êtes pas d’accord avec la décision, vous pouvez introduire un recours :

    • 1ère étape : Introduire une réclamation auprès de votre Bureau régional des Allocations d’Études, uniquement par courrier recommandé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision. L’adresse de votre bureau est reprise sur la notification.
      La réponse de l’Administration vous sera envoyée dans les 30 jours suivant votre réclamation.
       
    • 2e étape : Si à l’issue de l’étape 1, la réponse envoyée par l’Administration est maintenue, vous pouvez introduire un recours motivé par recommandé dans les 30 jours, auprès du Conseil d’Appel des Allocations d’Études. L’adresse du Conseil d’Appel sera reprise sur la réponse de l’Administration.

    Toutefois, durant ce même délai de 30 jours, vous pouvez introduire une demande d’intervention auprès du Médiateur de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, par courrier simple ou par e-mail.
    Tél : 0800/19.199 ou 081/32.19.11

    Mail : courrier@le-mediateur.be

    Rue Lucien Namèche, 54 à 5000 NAMUR

    L’introduction de cette demande d’intervention suspend le délai de recours au Conseil d’Appel pour une durée d’un mois maximum.

    Retrouvez toutes les informations sur https://allocations-etudes.cfwb.be/etudes-secondaires/conditions/

    Voir aussi :

    MAJ 2025

    Allocations d’études : Comment remplir le formulaire ?

    Chaque année, les élèves du secondaire et les étudiants du supérieur de plein exercice peuvent remplir un formulaire pour faire une demande d’allocations d’études auprès de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Vous avez jusqu’au 31 octobre pour faire une demande.

    Deux possibilités s’offrent à eux :

    En cas de difficulté pour faire votre demande, vous pouvez vous rendre dans l’une de nos permanences (Schaerbeek ou Anderlecht ou Jette), nous compléterons votre dossier ensemble.

    ATTENTION, pour faire votre demande vous devez vous munir de plusieurs documents (sans ceux-ci, nous ne pouvons pas remplir le dossier avec vous). N’oubliez pas de les emporter avec vous :

    Pour les élèves du secondaire (majeurs compris)

    • Carte identité d’une personne majeure reprise sur la composition de ménage de l’élève + code pin de cette carte identité (sans code, nous ne pouvons pas faire la demande électronique)
    • Attestation d’inscription de l’école de votre enfant (c’est un document qui est distribué à la rentrée des classes. N’hésitez pas à le demander à l’école si vous ne le recevez pas).
    • Carte de banque du parent
    • La preuve des revenus des personnes majeures sur la composition de ménage. Par exemple, le père ou les frères bénéficient du revenu d’intégration du CPAS. Il vous est demandé un document du CPAS qui reprend tous les revenus depuis le début jusqu’à aujourd’hui. Pour cela, vous devez contacter votre CPAS afin qu’ils vous fournissent cette preuve.
    • Connaitre la date exacte des débuts de revenus des personnes majeures sur votre composition de ménage
    • Fournir une composition de ménage si celle-ci a été modifiée récemment

    Pour les étudiants du supérieur (majeurs). Pour les mineurs, vous pouvez uniquement passer par le formulaire papier.

    • Carte identité de l’étudiant + code pin de cette carte identité (sans code, nous ne pouvons pas faire la demande électronique)
    • Attestation d’inscription auprès d’un établissement dans le supérieur de plein exercice (c’est un document disponible auprès de votre établissement, une fois l’inscription faite).
    • Carte de banque de l’étudiant
    • La preuve des revenus des personnes majeures sur la composition de ménage. Par exemple, le père ou le frère bénéficient du revenu d’intégration du CPAS. Il vous est demandé un document du CPAS qui reprend tous les revenus depuis le début jusqu’à aujourd’hui. Pour cela, vous devez contacter votre CPAS afin qu’ils vous fournissent cette preuve.
    • Connaitre la date exacte des débuts de revenus des personnes majeures sur votre composition de ménage
    • Fournir une composition de ménage si celle-ci a été modifiée récemment

    ATTENTION, les étudiants en promotion sociale et en bacheliers/ masters de spécialisation n’ont pas droit aux allocations d’études.

    Pour plus d’informations, consultez : https://allocations-etudes.cfwb.be/conditions-et-montant/enseignement-secondaire/ (secondaire) ou https://allocations-etudes.cfwb.be/conditions-et-montant/enseignement-superieur/ (supérieur)

    Et si vous souhaitez joindre le Service des allocations d’études, rendez-vous sur la page suivante :  https://allocations-etudes.cfwb.be/mon-dossier/

    Voir aussi :

    MAJ 2025