A partir du 6 mars prochain commencera le mois du qualifiant.
Le mois du qualifiant veut mettre en lumière l’enseignement technique et professionnel ainsi que les 331 établissements qui dispensent cet enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles ! L’orientation d’un jeune vers une option est un moment important dans son parcours scolaire. Pour permettre aux jeunes de poser un choix réfléchi et positif pour leurs études, les Chambres Enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles proposent un mois d’information pour les jeunes et leur entourage adulte.
Alors, ce mois-ci, tu auras l’occasion de voir passer sur tes réseaux sociaux des vidéos explicatives faites par des experts, des reportages, des affiches qui te guideront vers le site enseignementqualifiant.be qui reprend toutes les informations concernant l’orientation dans le qualifiant !
Chez Infor Jeunes nous pouvons aussi te recevoir ou répondre à tes questions en ligne si tu as besoin d’une aide particulière !
Toi non plus tu ne comprends rien aux droits d’allocations familiales ? Tu te retrouves souvent perdu sur ton cas particulier ? A partir de maintenant, ce n’est plus un soucis !
Infor Jeunes t’a préparé un tableau incroyable qui récapitule toutes les conditions pour les cas différents de droits aux allocations familiales.
Si après la lecture de celui-ci tu te poses encore des questions, n’hésite pas à nous les poser via inforjeunes@jeminforme.be.
En cette semaine de Saint-Valentin, Infor Jeunes tient à te rappeler la notion de consentement. En plus de t’expliquer ce que c’est, aujourd’hui on se concentre sur la définition d’un concept méconnu : « le stealthing ».
Mais tout d’abord, le consentement, c’est quoi exactement ?
Le consentement c’est le fait de donner son accord avant d’entamer un acte à caractère sexuel. C’est la manière dont on autorise une personne à engager un acte de nature sexuelle avec notre personne. La notion de consentement, c’est être d’accord ou non avec un acte de façon implicite ou explicite. Par acte, on entend un baiser, un câlin, une relation sexuelle pénétrative ou non, protégée ou non, une relation de séduction avec ou sans contact physique, …
Le consentement c’est aussi être informé∙e de tout ce qui entoure la situation de l’acte sexuel.
Pour être « valable », le consentement doit être « libre et éclairé ». Libre signifie qu’il doit être donné sans contraintes, menaces ou manipulations, sans non plus être endormi∙e ou sous l’emprise de substances.Éclairé, ça signifie que chaque personne qui participe à l’acte sexuel doit être avertie des informations pertinentes à celui-ci et doit avoir eu un temps de réflexion pour les comprendre et consentir avec enthousiasme au fait de prendre part à cet acte.
Enfin, le consentement doit être « réversible et spécifique ». C’est-à-dire qu’on peut changer d’avis à tout moment, et que, lorsqu’il est donné, il est donné pour une chose précise et pour rien d’autre. Par exemple, lorsqu’on parle de « consentement spécifique » on peut notamment parler du fait d’être protégé∙e ou non.
C’est ici qu’on va te définir la notion de « Stealthing ».
Si ton/ta partenaire pendant l’acte refuse de porter une protection contre ton gré ou retire la protection sans t’avertir, cette personne brise ton consentement et fait du « stealthing ». Le stealthing, c’est retirer sa protection lors d’un acte sexuel sans prévenir ni demander le consentement des autres participants à celui-ci. Si la protection est retirée à ton insu, la personne qui va à l’encontre de ton consentement commet un viol selon notre Code Pénal.
Tu es tout à fait en droit d’aller porter plainte au commissariat de police de ton choix. Nous te conseillons également de consulter un∙e psychologue ou un centre spécialisé si tu te sens impacté∙e psychologiquement.
Dans ce cas, rends-toi au plus vite dans un planning familial, ou alors n’hésite pas à consulter les sites suivants pour recevoir de l’aide :
Pour être sûr∙e que tu as tout compris, on t’a préparé une petite liste de rappels, pour les célibataires comme les couples ou toute autre forme de relations affectives :
Quand on dit NON, ben c’est NON !
Quand ton/ta partenaire ne dit rien, dort, est saoul.e/drogué.e ou est inconscient.e, c’est NON aussi.
Si une personne ne dit pas explicitement NON, ça ne veut pas forcément dire oui.
Quand on ne dit rien, ben c’est probablement NON aussi.
Si tu n’es pas sûr.e, c’est qu’il y a un problème !
N’hésite pas à communiquer un maximum avec ton/ta partenaire, pour être sûr.e que celui/celle-ci soit à l’aise avec la situation.
Petit tips : N’hésite pas à poser la question à la personne concernée, comme ça on est sûr.e que tout le monde est sur la même longueur d’onde !
Toute personne peut changer d’avis à tout moment, à tout stade d’un acte sexuel. Attention à ne jamais forcer une personne à faire ce qu’elle ne veut pas.
Si tu as des questions, n’hésite pas à les envoyer à inforjeunes@jeminforme.be.
Tu as reçu tes résultats d’examens de supérieur et tu fais face à un ou plusieurs échecs ? Nous savons que ce n’est pas facile, et pourtant, rater c’est OK ! Nous te donnons ci-dessous des conseils pour questionner les causes de cet échec et rebondir après cela.
1/ Persévère Trouver son rythme et sa méthode de travail, ce n’est pas une mince affaire !
Cela nécessite parfois des essais-erreurs. Il est nécessaire de questionner les causes de ton échec : peut-être que ta méthode de travail nécessiterait d’être revue ? Tu t’y es pris trop tard ? Tu as eu des difficultés à gérer ton stress ? Trop de fatigue accumulée à cause de la guindaille ? Manque de motivation ?
L’adaptation au rythme de vie des études supérieures peut être vécue difficilement. Et pour cause, changement d’établissement scolaire, nouvelles matières, grande autonomie, pour certain∙es emménagement dans un kot, sont autant de changements non-négligeables qui demandent une énergie que tu ne peux déployer ailleurs. Pour t’aider à comprendre ta cote, sache que tu as le droit de consulter tes copies d’examens, afin de comprendre ce qui était attendu de toi. Enfin, sache que les services d’aide à la réussite sont à ta disposition au sein de ton établissement d’études.
Si tu es en première année de bachelier, tu as la possibilité de passer tes examens de janvier en juin et en août si nécessaire, car tu disposes de trois chances.
2/ Dans quels cas es-tu en droit d’introduire un recours ? Tu peux introduire un recours contre toute forme d’erreur matérielle (par exemple si le professeur n’a pas compté une question lors du calcul de sa cotation), ou toute irrégularité survenue dans le déroulement général de l’examen (par exemple si tu as eu moins de temps que ce qui avait été annoncé pour répondre à l’examen).
Attention toutefois aux délais ! Tu as trois jours ouvrables (tous les jours sauf les samedis-dimanches-jours fériés) après la notification des résultats de délibération, ou la consultation de ta copie d’examen contesté. Pour connaitre les modalités, consulte le règlement des études de ton établissement.
3/ Dans quels cas peux-tu demander un allègement ? L’allègement en cours d’année n’est possible que pour des motifs sociaux ou médicaux graves. Le fait d’avoir échoué à la session de janvier n’est pas un motif suffisant pour demander un allègement.
4/ Est-il possible de se réorienter en cours d’année ? Si tu es en BA1, il est possible de te réorienter jusqu’au 15 février sans devoir payer de frais d’inscription supplémentaires. Il est nécessaire d’introduire une demande de réorientation motivée, et celle-ci sera soumise à l’approbation du jury. En pratique, c’est rarement refusé. A partir de la BA2, la réorientation n’est possible que jusqu’au 31 octobre, dans le respect des règles de finançabilité (https://www.jeminforme.be/etes-vous-un-etudiant-financable/).
5/ Que faire si tu décides d’arrêter tes études, temporairement ou définitivement ? Tu peux aussi prendre la décision d’arrêter tes études, soit pour entrer dans la vie active, soit pour reprendre des études à la rentrée suivante. En janvier, il n’est pas possible de se faire rembourser son minerval.
Si tu es boursier∙ère et que tu arrêtes tes études après le 1er janvier, 50% du montant de ton allocation d’études pourrait t’être réclamé.
Ainsi, tu peux ainsi entrer dans la vie active, en concluant un contrat de travail ou en te lançant comme indépendant.
Tu peux également décider de prendre un temps de pause pour réfléchir à ton avenir, et profiter de ce moment pour prendre des cours de langue, partir à l’étranger ou entreprendre un projet de bénévolat ! Plus d’infos sur notre site https://www.mobilitedesjeunes.be/.
Tu as des questions ? N’hésite pas à nous les envoyer à inforjeunes@jeminforme.be, ou à venir à nos permanences !
La plupart des jeunes ne connaissent pas la Loi Sexisme ! Et pour cause, on ne nous l’explique pas assez !
Tout d’abord, le sexisme c’est quoi ?
C’est une attitude d’une personne envers une autre qui suppose une infériorité sous prétexte de son sexe. La personne visée sera « réduite essentiellement à sa dimension sexuelle ». Les comportements de nature sexiste légitimisent l’inégalité créée entre les hommes et les femmes et favorisent l’exclusion des femmes de la société. Ces comportements aident à justifier les actes de discriminations et de violences faites aux femmes.
Depuis 2014, la Belgique a instauré la Loi Sexisme. Cette loi dispose que « les comportements, propos et injures à caractère sexiste » sont punis et considérés comme des infractions.
Or, après huit ans de création, la loi est encore méconnue de tous, même parfois des forces de l’ordre.
C’est le constat qu’en a tiré l’Institut pour l’Egalité des Femmes et des Hommes dans un rapport datant de fin 2022. L’Institut rappelle que cette loi a pour but de faire évoluer les mentalités et la qualité de vie des femmes. Cette loi a aidé à rendre légitime la lutte contre les discriminations faites aux femmes.
L’institut a cependant dressé un bilan relativement inquiétant. En effet, encore trop peu de victimes de sexisme osent aller porter plainte.
Pourquoi ? Parce que celles-ci ne sont pas prises au sérieux. D’après l’INCC, plus de 9 policiers sur 10 n’a jamais appliqué cette loi, et plus de la moitié des policiers interrogés ne savaient pas qu’elle existait.
Comment faut-il remédier à ces chiffres inquiétants ?
En décelant les discours qui sont sexistes ou non. N’hésite pas à parler des tes expériences avec tes amis ou ta famille, et à chercher à savoir si tu as été un jour témoin ou victime de tels comportements.
Si tu connais quelqu’un en difficulté, tu peux aussi l’aider en discutant avec elle des solutions. Il existe des centres d’accueil qui vous aideront à prendre la décision adaptée.
N’oublie pas qu’un policier ne peut jamais te refuser une plainte, et que tu peux te rendre dans le commissariat de ton choix pour la déposer.
Pour plus d’infos, n’hésite pas à nous contacter !
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