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Les ARAE ou ateliers de recherche active d’emploi proposent une aide à l’insertion et à la réinsertion professionnelle pour améliorer sa recherche d’emploi : – aide à la recherche d’emploi ;
– bilan professionnel ;
– aide à la rédaction du curriculum vitae ;
– contacts avec entreprises ;
– comment utiliser internet dans sa recherche d’emploi ;
– aide à l’entretien d’embauche.
Le jobcoaching se déroule généralement en groupe, mais il est aussi possible d’avoir des entretiens individuels ou encore des workshops en ligne de quelques heures. Des « groupes jeunes » sont organisés spécialement pour les jeunes demandeurs d’emploi de moins de 30 ans.
Les ARAE sont soutenus pas Actiris et le Fonds Social Européen
ORIENTAEURO
– Rue des Pères Blancs, 4
1040 ETTERBEEK
– Boulevard Léopold II, 184D
1080 MOLENBEEK-SAINT-JEAN
– Rue de la Science, 23
1000 BRUXELLES
– Par visioconférence
02/808.72.71 arae@orientaeuro.be https://www.orientaeuro.be
Dans la coopération, vous travaillerez soit pour des ONG ou universités qui gèrent la coopération non-gouvernementale, soit pour des institutions nationales, européennes et internationales qui gèrent la coopération « institutionnelle », c’est-à-dire la coopération gouvernementale et multilatérale.
Certaines études comme celles d’ingénieur, d’économiste ou encore d’expert en gestion de budget, mènent plus facilement à la coopération. Celles de médecin (spécialisé ou généraliste), d’infirmier, de pharmacien, d’agronome, de nutritionniste, d’enseignant, de juriste, et les études en sciences politiques, de l’éducation, du travail, sont aussi fortement demandées. Connaître plusieurs langues est évidemment un atout important pour multiplier ses chances de travailler comme coopérant; En effet, la majorité des postes de coopérant sont en Amérique latine où il faut connaître l’espagnol, le portugais, en Afrique et en Asie où l’anglais est indispensable. Le français peut éventuellement être utile, sans oublier bien sûr les langues locales.
Par l’intermédiaire des ONG : coopération non-gouvernementale
Travailler comme coopérant à l’étranger par l’intermédiaire des ONG peut mener à différents métiers : l’enseignement, les métiers de la santé et de l’aide d’urgence, de la construction, de l’artisanat, de l’agriculture et secteur rural. Chaque projet est adapté aux besoins spécifiques des populations locales.
Certains types de métiers restent plus importants que d’autres (secteurs sciences de l’ingénieur, économiques, médicaux, sociaux, enseignement et formation, agriculture et économie) mais, peu à peu d’autres secteurs se développent comme l’environnement, l’égalité des genres, la démocratisation et les droits de l’homme.
Il existe plus de 80 ONG ou OSC Organisation de la Société Civile Accréditées en Belgique. Elles coordonnent l’envoi de personnes, le financement des partenaires, l’éducation au développement, l’offre de services. Les ONG agréées sont regroupées en 2 fédérations, l’une francophone (ACODEV), l’autre néerlandophone (NGO Federatie).
Par l’intermédiaire des institutions nationales,
européennes et internationales : coopération gouvernementale et multilatérale ou institutionnelle
Travailler dans la coopération est aussi possible dans d’autres secteurs :
Enabel – Agence de développement du gouvernement fédéral belge
Elle a l’exclusivité de l’exécution de la coopération entre gouvernements et délègue aux pays partenaires ou aux partenaires locaux. Enabel recrute régulièrement des « experts en coopération » qui pourront participer aux projets des pays partenaires par leurs compétences techniques et/ou par leurs qualités de gestionnaires de projets de coopération. Les profils demandés se concentrent principalement sur les domaines de l’infrastructure (ingénieurs civils, industriels, architectes…), la santé publique, l’éducation, l’agriculture (ingénieurs agronomes) et le développement institutionnel (économistes, sociologues…).
Enabel recrute régulièrement des experts internationaux pour les projets dans les pays partenaires, des consultants, des collaborateurs pour le siège de Bruxelles.
Enabel a aussi un Programme Junior, à destination des jeunes âgés de maximum 30 ans.
La Société belge d’investissement pour les pays en développement – BIO
BIO est une institution de financement du développement. Il s’agit de l’instrument belge de soutien au secteur privé dans les pays en développement.
Le SPF Affaires Etrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement
Deux ASBL existent, l’une francophone et l’autre flamande : l’APEFE (Association pour la Promotion de l’Education et de la Formation à l’Etranger) et la VVOB soutenues par la DGD. Elles soutiennent le renforcement d’institutions étatiques ou paraétatiques de pays en développement avec lesquelles elles ont conclu des conventions de coopération. Elles visent à un renforcement institutionnel, technique, administratif et de gestion d’institutions.
Coopération universitaire et scientifique
Coopération universitaire : les universités belges proposent et réalisent différents projets de coopération subsidiés par l’État belge à travers la DGD. Les universités francophones sont représentées par l’ARES (Académie de Recherche et d’Enseignement Supérieur) et les universités flamandes par le VLIR (Vlaamse Interuniversitaire Raad). Les étudiants universitaires de 2e et 3e cycles ont donc la possibilité de recevoir une bourse et de réaliser un travail de fin d’études ou un stage dans un pays en voie de développement.
Les bourses de WBI : la Fédération Wallonie-Bruxelles a des accords de coopération scientifiques avec différents pays, ceci permet d’offrir des aides à des chercheurs pour leur séjour à l’étranger. Des bourses sont aussi octroyées à des étudiants diplômés de l’enseignement supérieur, des chercheurs et des artistes.
L’Institut de médecine tropicale (IMT) coopère avec la DGD pour les formations en Belgique, la recherche en matière d’aide à la politique, la coopération au développement. L’IMT octroie des bourses aux personnes originaires de pays en voie de développement.
Le Musée royal d’Afrique centrale (MRAC) coopère avec la DGD qui finance la coopération scientifique avec les musées d’outre-mer.
La direction générale des Partenariats internationaux permet à la Commission européenne la mise en œuvre des instruments d’aide extérieure de la Commission.
La Commission européenne recherche des experts afin d’effectuer des missions d’assistance technique dans leurs domaines de spécialisation respectifs. Ces missions s’inscrivent dans des domaines variés, y compris pour la mise en œuvre d’opérations d’aide humanitaire/de sécurité alimentaire.
Agences des Nations-Unies
Les organisations partenaires de la coopération multilatérale reçoivent des budgets qui servent à financer l’ensemble des activités de l’organisation, sans affectation préalable à un projet ou à un programme particulier.
La formation en alternance, c’est la possibilité d’apprendre un métier dès 15 ans en alternant cours théorique (1 à 2 jours/semaine) et stage en entreprise (3 à 4 jours/semaine).
Mais ce n’est pas toujours facile de trouver un stage de qualité dans une entreprise désireuse de s’investir auprès des apprenants…
Lancée le 1er juin, l’application Stage+ veut pallier à ce problème en facilitant la prise de contact entre jeunes et entreprises.
Concrètement, les entreprises formatrices agréées y déposent des offres de formation. Il te suffit de créer un compte pour avoir accès à la liste de stage.
Secteurs disponibles : Agriculture et jardin ; Alimentation et Horeca ; Art, artisanat et patrimoine ; Audiovisuel et informatique ; Coiffure et esthétique ; Construction ; Elevage et soins animaliers ; Industrie ; Maintenance industrielle ; Logistique et transport ; Réparation de véhicules automobiles et de motocycles ; Service aux personnes ; Tourisme et loisirs ; Travaux de bureau et gestion ; Vente et marketing.
Un stage t’intéresse ? Tu soumets alors ta candidature !
Dans le cadre de la stratégie visant à augmenter le taux d’emploi, le gouvernement fédéral a adopté un arrêté royal prévoyant deux nouveaux incitants pour les chômeurs de longue durée : l’allocation « métier en pénurie » et l’allocation « mobilité interrégionale ». Ces deux allocations qui pourront chacune être cumulée avec un salaire seront disponibles dès ce mois de septembre 2022.
De quoi s’agit-il ?
Les chômeurs bénéficieront du maintien partiel et temporaire de leurs allocations de chômage s’ils reprennent le travail dans un métier en pénurie OU dans une entreprise ou institution située dans une autre région que celle dans laquelle ils ont leur résidence principale, à condition que le contrat de travail pour lequel l’avantage est demandé ait une durée prévue d’au moins 3 mois.
Attention : Il s’agit d’un avantage partiel et temporaire. En effet, le montant journalier des allocations « métier en pénurie » et « mobilité interrégionale » correspond à 25% du montant journalier de l’allocation de chômage et cette allocation est octroyée durant une période maximale de 3 mois (calculée de date à date, à partir du premier jour du contrat de travail pour lequel l’allocation est demandée).
Les deux allocations ne peuvent en aucun cas être cumulées ou utilisées successivement dans le cadre du même contrat de travail. Enfin, l’allocation « métier en pénurie » ne peut être accordée qu’une seule fois, pour un seul contrat de travail durant l’ensemble de la carrière du travailleur.
Pour allez plus loin : voyez l’Arrêté royal du 22 juin 2022 instaurant une allocation supplémentaire pour les chômeurs de longue durée qui reprennent le travail dans une autre région ou dans un métier en pénurie.
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