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Qu’est-ce que la coopération au développement ?

Vous souhaitez vous investir dans un projet professionnel porteur de sens ? Parfaire votre formation, rechercher une expérience professionnelle intéressante à travers un projet solidaire concret ? La coopération au développement pourrait vous permettre de réaliser ces projets.

Coopération au développement : quelles origines et quelle évolution ?

La coopération au développement est apparue au sortir de la deuxième guerre mondiale, en fin de première vague de décolonisation. Il était considéré que les populations du Sud avaient à se « développer » et se « moderniser », car elles étaient en retard sur la civilisation occidentale.

Si les origines du secteur sont peu glorieuses, aujourd’hui, la coopération au développement a une approche plus respectueuse. Elle met davantage l’accent sur la notion de « coopération ». L’objectif global étant un partenariat Nord-Sud, construit autour de l’idée que le Nord aide le Sud à se renforcer dans certains secteurs, pour réduire les inégalités économiques et sociales. Il n’est plus question d’imposer une vision occidentale aux pays du Sud. Il s’agit de collaborer à l’élaboration d’un monde plus juste et plus égalitaire.

Ces partenariats sont mis en place principalement par le biais des organisations subsidiées par la coopération au développement (des Organisations Non-Gouvernementales ou ONG).

Travailler dans le secteur de la coopération au développement, c’est du sérieux ! La bonne volonté ne suffit pas. Le secteur s’est professionnalisé et est assez exigeant dans les profils recherchés. Les employeurs seront très regardants sur la qualification professionnelle et sur l’expérience de travail. De plus, partir comme coopérant se fait en général pour une durée assez longue et demande donc une grande préparation. Les candidatures auprès des ONG sont nombreuses. Pour être engagé comme coopérant, il convient donc de mettre tous les atouts de son côté, notamment par une bonne préparation et l’amélioration de son bagage avant de poser sa candidature.

Qu’est-ce que la coopération au développement en Belgique ?

La Loi relative à la coopération internationale belge du 19 mars 2013, mise à jour au 29 juin 2021 organise la coopération belge au développement. Les objectifs de la coopération internationale belge, ses stratégies, les différents types de coopération et les pays concernés y sont définis.

La mission de coopération belge au développement est réalisée par le Service public fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et coopération au développement où se situe la DGD (Direction générale de la Coopération au développement et de l’aide humanitaire), organe officiel de la coopération belge au développement.
La DGD définit les programmes de coopération mais c’est Enabel qui les exécute. Enabel (Agence de développement de l’Etat Fédéral belge) est responsable de la mise en œuvre et de l’exécution de la coopération gouvernementale belge dans 14 pays partenaires.

Il y a différents types de coopération au développement avec différents critères : l’aspect « direct » de la coopération, c’est-à-dire d’Etat à Etat, ou « indirect » par l’intermédiaire d’une initiative autre que gouvernementale soutenue ou non par l’Etat :

  • Coopération gouvernementale ou bilatérale directe : D’Etat à Etat. Programmes ou projets dans un pays partenaire, financés par l’Etat belge, sur base d’une convention entre les deux pays.
  • Coopération multilatérale : Initiatives internationales. Programmes ou projets financés par l’Etat belge et exécutés par une organisation internationale et des contributions belges à des organisations internationales pour leurs programmes ou projets de développement.
  • Coopération non gouvernementale ou bilatérale indirecte : Certaines ASBL sont reconnues (« accréditées ») par le Ministre de la Coopération au Développement. L’accréditation est accordée aux organisations qui garantissent de dépenser les subsides octroyés par l’Etat belge, de manière responsable et efficace dans leurs programmes ou projets dans un pays partenaire. Il s’agit principalement d’ONG mais également de la coopération universitaire, d’institutions scientifiques, etc.
  • Le quatrième pilier est constitué des initiatives citoyennes.

La coopération au développement passe aussi par l’éducation en Belgique. L’éducation à la citoyenneté mondiale et solidaire (ECMS) vise la compréhension globale des enjeux mondiaux, et à favoriser l’action citoyenne pour un monde plus juste, durable et solidaire., Les ONG sont les principales promotrices de l’ECMS.

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MAJ 2025




Situation administrative des coopérants

Partir du territoire engendre nécessairement des questionnements autour de la situation administrative des travailleurs engagés dans le cadre d’une mission de coopération. S’il existait jusqu’en 2017 un statut propre au coopérant, lui offrant avantages et garanties, tel n’est plus le cas aujourd’hui. Il existe encore de rares règles spécifiques aux coopérants, mais ce sont surtout les ONG qui se sont coordonnées pour offrir une politique de travail décente et juste aux travailleurs de la coopération.. Nous faisons, ci-dessous, un tour d’horizon de la situation administrative du coopérant.

Modalités administrative avant le départ

Domicile

La règle générale est que les personnes qui partent travailler à l’étranger plus d’un an sont rayées des registres de population. Une absence de plus de 6 mois peut aussi donner lieu à une radiation. Cette règle n’est pas applicable aux travailleurs de la coopération au développement absents temporairement.

Si vous voulez garder votre domicile en Belgique

  • Vous devez avertir votre administration communale de votre départ en leur précisant que vous êtes envoyé comme coopérant à l’étranger par une ONG agréée par la Direction générale Coopération au développement (DGD). Vous pouvez être considéré comme « temporairement absent » et conserver votre inscription en Belgique (Arrêté Royal du 16 juillet 1992, art. 18, §3, 8°).
    Si vous restez domicilié en Belgique, vous aurez moins de formalités à accomplir à votre retour : les données d’état civil restent centralisées dans votre administration communale, les droits relatifs à la sécurité sociale belge sont applicables dès votre retour.
    Vous devrez, si possible, leur communiquer une adresse où votre courrier officiel pourra vous être envoyé.

Si vous ne voulez pas garder votre domicile en Belgique

  • Vous devez avertir votre administration communale de votre départ et du fait que vous n’avez plus de domicile en Belgique. Vous recevrez une attestation de radiation qui vous permettra de vous inscrire dans le registre de population de l’Ambassade belge ou du consulat belge compétent dans le pays où vous vous rendez. L’Ambassade ou le consulat offrent des services similaires à ceux des communes en Belgique. Vous y inscrire vous offrira des facilités dans vos démarches administratives (carte d’identité, passeport, nationalité…). Cela vous permettra également d’être inscrit sur les listes d’électeurs et de pouvoir voter lors des élections fédérales en Belgique. Si vous revenez en Belgique, il faudra évidemment vous réinscrire dans une administration communale.
  • Si vous n’avez pas fait votre déclaration avant votre départ, vous devrez le faire au consulat ou à l’Ambassade belge à l’étranger dans les 2 mois de votre arrivée. Ce sont ces services qui vont délivreront un certificat de radiation.

Procuration

Pensez à donner à quelqu’un de confiance une procuration, surtout si vous gardez votre domicile en Belgique. Cela peut être utile pour effectuer des démarches auprès de votre banque, vos déclarations fiscales ou encore les élections.

Pour certains actes, un document signé par le coopérant et la personne qui reçoit votre procuration est suffisant. Parfois, il faut une procuration universelle qui mandate celui qui la reçoit de faire tout acte utile pour le coopérant. Cette procuration peut être rédigée par le coopérant mais les signatures doivent être légalisées à l’administration communale du coopérant.

Passeport

Vous devrez vous munir d’un passeport avant votre départ d’une durée de validité de 5 ans.

La sécurité sociale

Quitter le territoire belge signifie théoriquement ne plus être soumis à son régime de sécurité sociale.

Toutefois, il existe des pratiques et règlementations permettant de combler, du moins partiellement, certains des avantages sociaux perdus en raison du déménagement.

Des informations complémentaires sur la sécurité sociale lorsqu’on quitte le territoire belge sont disponibles sur la page suivante : https://www.socialsecurity.be/CMS/fr/leaving_belgium/index.html.

Cette section ne traite que de la sécurité sociale. Pour plus d’informations sur le droit du travail applicable aux contrats du coopérant, voir « Pour qui travaillent les coopérants ? quel droit applicable ? »

La Sécurité Sociale d’Outre-Mer

La Sécurité Sociale d’Outre-Mer (SSOM) propose des assurances sociales aux expatriés qui y sont affiliés et qui travaillent dans des pays hors de l’Espace Economique Européen (EEE), de la Suisse et du Royaume-Uni. En pratique, s’affilier à la SSOM permet de continuer à bénéficier des avantages des assurances sociales belges, et d’y rester lié légalement.

Ainsi, la SSOM offre dans sa formule standard une protection proche de l’assurance soins de santé obligatoire en Belgique, à savoir une assurance pension, une assurance incapacité de travail-invalidité-maternité et une assurance différée de soins de santé. Il existe également des assurances complémentaires, telles qu’une assurance soins de santé, ou accident de travail.

Il est possible de s’y affilier directement en tant que particulier, mais dans la pratique, il arrive souvent que les ONG y soient affiliées pour offrir cette protection à tous ses travailleurs.

Plus d’informations sur le site de la SSOM .

Les allocations familiales

Les allocations familiales n’entrent ni dans le champ du droit du travail, ni dans le champ de la SSOM. En théorie, cet avantage est perdu. Mais en pratique, certaines ONG se sont accordées en interne pour octroyer une somme équivalente aux montants d’allocations familiales, primes de naissance ou d’adoption, à condition de leur fournir une attestation de fin de prise en charge délivrée par votre ancienne Caisse d’allocations familiales. Cependant, cette pratique est officieuse et n’a pas de caractère obligatoire. Il sera donc important de vérifier dans le contrat si cet avantage est prévu.

Avant de partir, il conviendra donc de prévenir votre Caisse d’allocations familiales. Théoriquement, si vous changez de domicile elle en sera avertie mais il est plus sûr de la prévenir dans tous les cas.

N.B. : Les informations énoncées ci-dessus sont d’application dans le cas des postes de coopérants accompagnés. Il existe également des postes « non-accompagnés », dans le cadre desquels la famille n’est pas autorisée à venir avec, et par conséquent, ne bénéficiera pas de ces avantages.

Le chômage

A la fin de votre contrat de travail, lorsque vous aurez à nouveau votre résidence en Belgique, vous pourrez introduire une demande d’allocations de chômage. Les heures travaillées à l’étranger pourront être comptabilisées par l’ONEM et donner droit à une allocation de chômage en Belgique à condition que vous ayez été affilié à la SSOM, et que vous ayez travaillé en Belgique pendant au moins un jour à la fin de la période d’expatriation dans le cadre d’un contrat de travail soumis à l’ONEM.
Il existe également un régime spécial pour les jeunes chômeurs demandeurs d’emploi, leur permettant de continuer à bénéficier.

Avantages divers

Il arrive que soient pris en charge par l’ONG les frais de déplacement, partie des frais scolaires des enfants autorisés à accompagner le coopérant, les assurances en cas d’accident ou de rapatriement, une indemnité d’expatriation, ou encore les frais liés au logement sur place.

Comme pour les allocations familiales, les ONG se sont accordées en interne pour octroyer ces avantages, mais ce n’est pas obligatoire. Il est important de prendre connaissance de votre contrat de travail, et de clarifier les points ci-dessus avec l’ONG avant votre départ.

Les impôts

En droit belge, il y a deux régimes d’imposition : l’impôt des personnes physiques et l’impôt des non-résidents.
L’imposition des revenus d’un coopérant est une matière complexe, renseignez-vous auprès de votre ONG afin de savoir de quel régime d’imposition vous dépendrez.

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MAJ 2025




Auberges et hôtels de jeunes

Les auberges de jeunesse sont nées en Europe au début du 20ème siècle. Elles sont le passeport pour un séjour de courte durée, confortable et peu cher. L’appellation Auberge de Jeunesse (ou Hôtel pour jeunes dans d’autres cas) est historique.

Des jeunes, des familles, des groupes peuvent y loger individuellement ou collectivement.

Il existe à Bruxelles sept Auberges et Hôtels pour jeunes. Que vous soyez ici pour des vacances, du tourisme, en stage ou autre séjour de courte durée, vous gagnez à les essayer. Faites attention tout de même aux délais de réservation !

Types d’hébergement

A Bruxelles, vous trouverez une chambre en auberge à partir d’une vingtaine d’euros (les chambres à 6 ou 10 lits sont les moins chères). Les tarifs varient également en fonction de l’âge : avoir moins ou plus de 26 ans.

Si vous êtes communautaire ou à plusieurs, la nuitée sera moins chère, draps et petit déjeuner compris. Les services complémentaires proposés sont variables, ça vaut la peine de comparer.

Pour les étudiants étrangers et stagiaires, il est possible de prévoir des séjours de plus longue durée avec un prix forfaitaire par mois.

Pour les Auberges de Jeunesse Internationales, une carte de membre annuelle est indispensable (valable dans tous les pays). Elle vous donne droit à un accueil minimum commun, quel que soit le pays ou l’Auberge.
Adresses de référence : https://lesaubergesdejeunesse.be – https://hihostels.com

Les cartes de membre AJ, pour les résidents en Belgique, sont en vente au prix de : 10€/- 26 ans ; 15€/+ 26 ans ; 25€/famille (parents accompagnés d’un ou plusieurs de leurs enfants de moins de 16 ans) ; gratuit/carte partenaire ; 30€/groupes associatifs reconnus ou gratuites/écoles belges :

Plus d’infos sur la carte de membre : https://lesaubergesdejeunesse.be/carte-de-membre

Hébergement à Bruxelles

Auberges de jeunesse

Auberges membres des Auberges de jeunesse asbl

AUBERGE DE JEUNESSE JACQUES BRELGITE D’ETAPE
Rue de la Sablonnière, 30
1000 Bruxelles
Tél. : 02/218.01.87
brussels.brel@laj.bebrussels.brel@lesaubergesdejeunesse.be
https://lesaubergesdejeunesse.be/bruxelles-jacques-brel
Facebook
Prix : à partir de 35€
Métro Madou ou Métro Botanique

AUBERGE DE JEUNESSE GENERATION EUROPE
Rue de l’Éléphant, 4
1080 Molenbeek
Tél. : 02/410.38.58
brussels.europe@laj.be ou brussels.europe@lesaubergesdejeunesse.be
https://lesaubergesdejeunesse.be/bruxelles-generation-europe
Facebook
Prix : à partir de 26€
Métro Comte de Flandre

Auberge membre de Vlaamse Jeugdherbergen vzw

HI FLANDERS BRUEGEL
Rue du Saint Esprit, 2
1000 Bruxelles
Tél. : 02/511.04.36
brussel@hiflanders.be
https://www.hiflanders.be/fr/destinations/bruegel-brussel
Prix : à partir de 29,55€/membre journalier ; 26,70€/membre annuel
Carte de membre : gratuit/moins de 30 ans ; 10€/plus de 30 ans
Métro Gare Centrale

Hôtels pour jeunes (auberges hors réseau)

AUBERGE DES 3 FONTAINES
Gestion : Association de gestion du centre sportif de la forêt de Soignes
Chaussée de Wavre, 2057
1160 Auderghem
Tél. : 02/663.24.41 (réservation de groupes) – 02/663.24.30 (réception)
contact@auberge3fontaines.be
http://www.auberge3fontaines.be
Prix : à partir de 35,50€
Métro Hermann-Debroux

BRUSSELS HELLO HOSTEL (membre de Toerisme voor Allen) (fermée à partir du 31 juillet 2025)
Rue Gemba, 1
1081 Koekelberg
Tél. : 0471/93.59.27
reception@hello-hostel.eu
http://www.hello-hostel.eu/
Prix : à partir de 20€
Métro Simonis ou Elisabeth

HOSTEL VAN GOGH
Rue Traversière, 17
1210 Saint-Josse-ten-Noode
Tél. : 02/203.38.14
info@hostelvangogh.comgroupe@hostelvangogh.com
https://www.hostelvangogh.com
Métro Botanique

SLEEP WELL YOUTH HOSTEL – ESPACE DU MARAIS
Rue du Damier 23
1000 Bruxelles
Tél. : 02/218.50.50
info@sleepwell.be
group@sleepwell.be (pour réservation de groupes)
www.sleepwell.be
Prix : à partir de 42€ (petit-déjeuner compris)
Métro : Rogier
La durée maximale d’hébergement est de 5 jours

MAJ 2025




Travail au pair : adresses utiles

Organismes de placement au pair (pour l’étranger) Adresses pour les démarches utiles
Organismes de placement au pair (pour la Belgique) Sites dédiés

Organismes de placement au pair (pour l’étranger)

Languages & Travel
Avenue Louise, 143 bte 4
1050 Ixelles
Tél. : 02/899.75.15
info@langtra.be
https:/langtra.be
Travail au pair ou demi-pair dès 18 ans en Australie, au Canada, en Espagne ou en Irlande + cours de langues

World Education Program – WEPp
Avenue de Jette, 26
1081 Koekelberg
Tél. : 02/534.53.50
info@wep.org
https://www.wep.be
Travail au pair pour les 19-30 ans en Australie, les 18-30 ans en Nouvelle-Zélande et les 20-26 ans aux Usa

Organismes de placement au pair (pour la Belgique)

Au Pair Belgium
Avenue Franklin Roosevelt, 107
1000 Bruxelles
0475/76.30.86
info@aupairbelgium.be
https://www.aupairbelgium.be/fr/
Travail au pair en Belgique pour jeunes filles de 18 à 26 ans principalement non-européennes provenant d’Afrique du Sud, d’Argentine, du Brésil, de Colombie, d’Indonésie, de Madagascar, du Mexique, et de Thaïlande.

Adresses pour les démarches utiles

Administration communale de sa résidence
https://be.brussels/fr/propos-de-la-region/structure-et-organisation/cpas-communes-et-pouvoirs-locaux/les-communes
Pour toutes informations/démarches concernant l’accès, le séjour et l’établissement, l’obligation de visa des personnes étrangères
souhaitant travailler au pair en Belgique

Ambassades et consulats étrangers en Belgique
https://diplomatie.belgium.be/fr/ambassades-et-consulats
Pour obtenir des informations sur la législation du travail au pair en vigueur dans le pays concerné

FAMIRIS
Rue de Trèves, 70 bte 1
1000 Bruxelles
Tél. : 0800/35.950
info@famiris.brussels
https://www.famiris.brussels
Pour maintenir les allocations familiales bruxelloises du jeune au pair à l’étranger sous certaines conditions

FAMIWAL
Boulevard Mayence, 1 – BP 80000 Ville Basse
6000 Charleroi
Tél. : 0800/13.008
info@famiwal.be
https://www.famiwal.be
Pour maintenir les allocations familiales wallonnes du jeune au pair à l’étranger sous certaines conditions

SPF Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement
Rue des Petits Carmes, 15
1000 Bruxelles
Tél. : 02/501.81.11
https://diplomatie.belgium.be/fr/conseils-aux-voyageurs
Informations administratives pour partir à l’étranger
https://diplomatie.belgium.be/fr/venir_en_belgique
Informations administratives pour venir en Belgique

SPF Intérieur
Direction générale Office des étrangers

Boulevard Pacheco, 44
1000 Bruxelles
Tél. : 02/488.80.00
infodesk@ibz.fgov.be 
https://www.dofi.ibz.be
https://dofi.ibz.be/fr/themes/third-country-nationals/work/jeune-au-pair
Pour toutes informations/démarches concernant l’accès, le séjour et l’établissement, le visa des personnes étrangères

Service Public régional Bruxelles (SPRB)
Place Saint-Lazare, 2
1035 Schaerbeek
Tél. : 02/204.13.99 (du lundi au vendredi entre 9h et 12h)
travail.eco@sprb.brussels
Formulaire de contact

https://economie-emploi.brussels/autorisation-travail-jeunes-au-pair
https://economie-emploi.brussels/famille-accueil
Pour obtenir l’autorisation d’occupation et le permis unique ou permis de travail pour étrangers hors Union européenne.

Service public de Wallonie – Direction de l’emploi et des permis de travail
Place de Wallonie, 1 5100 Jambes
Tél. : 081/33.43.92
permisdetravail@spw.wallonie.be 
https://emploi.wallonie.be/home/travailleurs-etrangers/permis-de-travail.html
Pour obtenir l’autorisation d’occupation et le permis unique ou permis de travail pour étrangers hors Union européenne.

Ministerium der Deutschprachigen Abteilung Ausbildung, Beschäftigung und Europäische Programme
Hütte 79
4700 Eupen
Tél. : 087/63.89.00
info@adg.be
https://www.dglive.be/desktopdefault.aspx/tabid-220/217_read-1022/
Pour obtenir l’autorisation d’occupation et le permis unique ou permis de travail pour étrangers hors Union européenne.

Sites dédiés

Voir aussi :

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