Les animations « Je réfléchis et puis je clique » d’Infor Jeunes


Internet, un espace de liberté… mais à quel prix ?

Aujourd’hui, les jeunes passent en moyenne plusieurs heures par jour connectés à internet, que ce soit via les réseaux sociaux, les jeux en ligne ou les plateformes de streaming. Cet accès quasi illimité à l’information et à l’interaction offre de nombreuses opportunités mais comporte aussi des risques.
Le cyberharcèlement, la diffusion non consentie d’images, les discours de haine ou encore l’exploitation des données personnelles sont des problématiques de plus en plus préoccupantes. Pourtant, beaucoup de jeunes n’ont pas pleinement conscience des conséquences de leurs actes en ligne, ni des moyens de se protéger.

C’est pour répondre à ces défis que nous avons créé « Je réfléchis et puis je clique », une animation ludique et participative pour sensibiliser les jeunes aux bonnes pratiques numériques et leur donner les clés pour une utilisation responsable du web.

Destinée aux jeunes du secondaire, de centres de jeunes, d’AMO ou de mouvements de jeunesse, cette animation interactive de 2 heures (2 x 50 minutes) vise à :

Sensibiliser aux dangers du cyberharcèlement  

    • Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?
    • Face à une situation de cyberharcèlement, quels sont mes droits ?
    • Face à une situation de cyberharcèlement, quels sont mes devoirs ?
    • Comment prévenir le cyberharcèlement ?
    • Adopter des comportements préventifs.​

Lutter contre les discriminations en ligne 

    • Quels sont les différents types de discriminations ?
    • Qu’est-ce-que le sexisme ? Est-ce une forme particulière de discrimination ?
    • Notre image pouvant constituer une porte ouverte pour les discriminations, de quelle protection légale bénéficie-t-elle ?
    • Que faire en cas de discriminations ?

Comprendre la citoyenneté numérique 

    • Définir ses droits et devoirs sur les réseaux sociaux
    • Apprendre ce que sont les données personnelles et comment elles sont exploitées.
    • Comprendre le rôle des cookies, des conditions générales d’utilisation et comment gérer ses préférences via des outils faciles à prendre en main.
    • Se protéger des fake news et des manipulations en ligne.

Notre objectif ? Encourager chaque jeune à développer un esprit critique et responsable sur internet et les réseaux sociaux, pour faire du web un espace respectueux de tous.

Informations pratiques :

Quand ? Tout au long de l’année scolaire, les mardis, mercredis et jeudis

? Dans vos locaux ou dans notre atelier situé Rue Louis Scutenaire, 13-14 à 1030 Bruxelles

Pour qui ? Groupes de jeunes (écoles, centres de jeunes, AMO, mouvements de jeunesse, etc.)

Durée ? 2 heures (2 x 50 minutes).

Matériel nécessaire ? Un local équipé d’un rétroprojecteur ou d’un TBN

Contactez-nous pour réserver une session ou obtenir plus d’informations :

 

MAJ 2025





Changement d’école et d’option

Inscriptions en maternelle, primaire, secondaire, enseignement en alternance et spécialisé

Pour les enfants n’étant pas encore soumis à l’obligation scolaire (avant la 3e maternelle), l’inscription peut se faire tout au long de l’année.

Pour les élèves soumis à l’obligation scolaire (c’est à dire dans l’année civile où il atteint l’âge de 5 ans), l’inscription dans une école primaire ou secondaire se fait au plus tard le premier jour ouvrable de septembre (ou au plus tard le 15 septembre pour les élèves qui ont des examens de passage). Pour des raisons exceptionnelles et motivées, la direction peut autoriser l’inscription jusqu’au 30 septembre au plus tard.

Par contre, les inscriptions dans l’enseignement maternel, l’enseignement en alternance (CEFA) et l’enseignement spécialisé se prennent pendant toute l’année.

Au-delà du 30 septembre, si l’élève n’est pas encore inscrit dans une école, ses parents (s’il est mineur) ou l’élève majeur peuvent faire une demande de dérogation auprès du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (enseignement officiel) ou au Pouvoir organisateur (enseignement subventionné) à condition que les raisons qui justifient ce retard d’inscription soient exceptionnelles et motivées. La demande peut se faire via le chef de l’établissement où l’élève est inscrit provisoirement.

Réglementation en matière de changement d’école

Dans l’enseignement fondamental (Maternel et primaire)

Circulaire n°9308 du 5 juillet 2024 sur l’organisation de l’enseignement fondamental ordinaire pour l’année 2024-2025

Le principe :

Élèves de la 1ère maternelle à la 5e primaire

Pour ces élèves du tronc commun, le changement d’école se fait librement et sans conditions du premier jour des vacances d’été jusqu’au premier jour de la rentrée. Il ne nécessite pas une procédure particulière.

Élèves de 6e primaire

Pour ces élèves, aucun changement libre ne peut être opéré librement, pas même avant la rentrée scolaire. Cela signifie qu’un élève qui entre en 6e primaire doit poursuivre sa scolarité dans l’école où il a effectué sa 5e primaire.

La dérogation

Pour tous les élèves, dès que l’année est entamée ou dès que l’élève marque sa présence effective en classe (càd le premier jour où il se rend effectivement en classe), le changement d’école est soumis à des conditions et à une procédure particulière, afin d’assurer une continuité pédagogique.

Dans ce cas, les parents peuvent introduire une demande de changement d’école, qui peut être réalisé dans deux hypothèses :

A – En cas de motif légitime

Le Code de l’enseignement prévoit limitativement 9 motifs qui permettent un changement d’école sans que la direction d’école ne dispose d’aucun pouvoir d’appréciation pour empêcher les parents d’élève qui peuvent se prévaloir de ces motifs d’inscrire leur enfant dans une autre école. il faut toutefois que ces motifs soient établis (par exemple à l’aide de pièces justificatives) . Ces motifs sont les suivants :

  1. Le changement de domicile ;
  2. La séparation des parents entrainant un changement de lieu d’hébergement de l’élève ;
  3. Le changement répondant à une mesure de placement prise en exécution de l’ordonnance de la Commission communautaire commune du 29 avril 2004 relative à l’Aide à la jeunesse, de la loi du 8 avril 1965 relative à la protection de la jeunesse, à la prise en charge des mineurs ayant commis un fait qualifié d’infraction et la réparation du dommage causé par ce fait, ou du Code de la prévention, de l’Aide à la jeunesse et de la protection de la jeunesse ;
  4. Le passage de l’élève d’une école à régime d’externat vers un internat et vice versa ;
  5. L’accueil de l’élève, sur l’initiative des parents, dans une autre famille ou dans un centre, pour une raison de maladie, de voyage ou de séparation des parents ;
  6. L’impossibilité pour la personne assurant effectivement et seule l’hébergement de l’élève de le maintenir dans l’école choisie au départ, en raison de l’acceptation ou de la perte d’un emploi ;
  7. La suppression du service du restaurant ou de la cantine scolaire ou d’un service de transport gratuit ou non, ou la suppression ou la modification des garderies du matin et/ou du soir, pour autant que l’élève bénéficiait de l’un de ces services et que la nouvelle école lui offre ledit service ;
  8. L’exclusion définitive de l’élève de l’autre école ;
  9. En ce qui concerne l’enseignement primaire, la non-organisation au sein de l’école ou de l’implantation d’origine de l’année d’études que doit fréquenter l’élève.

B – En cas de force majeure ou d’absolue nécessité

On entend notamment par nécessité absolue, les cas où l’élève se trouve dans une situation de difficultés psychologique ou pédagogique telle qu’un changement d’école s’avère nécessaire.

Par exemple : un élève qui se fait harceler dans son école. Dans ce cas-ci, en revanche, la direction de l’école possède un pouvoir d’appréciation et peut émettre un avis défavorable à un tel changement. Si c’est effectivement le cas, le service de l’inspection de l’enseignement du continuum pédagogique intervient dans la procédure.

Dans l’enseignement secondaire

Circulaire 9333 du 2 aout 2024 relative à l’organisation de l’enseignement secondaire ordinaire et à la sanction des études pour l’année 2024-2025

Au premier degré (1ère et 2e secondaire)

Dans l’enseignement secondaire, au cours du 1er degré (1ère et 2e années), le changement d’école en cours d’année n’est, en principe, pas permis. En début d’année, les élèves inscrit-e-s en 1ère année commune ou en 1ère année différenciée ont la possibilité de changer d’école jusqu’au 30 septembre au plus tard.

Passé ce délai, le changement d’école est conditionné à deux cas spécifiques, qui sont les mêmes que pour l’enseignement fondamentale (voir plus haut sur cette page : « motifs légitimes et cas d’absolue nécessité ou de force majeure).

Cas particulier : Les élèves qui s’inscrivent pour la première fois dans le 1er degré en cours d’année peuvent librement changer d’école jusqu’au 30e jour qui suit leur premier jour de présence à l’école. Sont généralement visés ici les élèves qui viennent d’arriver en Belgique, ou qui proviennent d’une école privée non subventionnée ou encore d’un enseignement à domicile.

Aux 2e et 3e degrés de l’enseignement secondaire

Pour le deuxième degré (les 3e et 4e années) et le troisième degré (les 5e et 6ème années y compris les 7e années techniques et professionnelles de qualification) degrés, le changement d’école est autorisé pendant toute l’année, sans justification ni motif à expliquer.

Procédure d’une demande de changement d’établissement

La demande de dérogation pour cas de force majeure ou d’absolue nécessité, ou encore pour un motif légitime est introduite auprès de la direction de l’école fréquentée par l’enfant.

En fonction de la situation, la direction de l’école autorisera immédiatement le changement, ou émettra un avis défavorable et transmettra le dossier à l’Administration qui devra à son tour prendre une décision.

Si la direction de l’école ne réagit pas à votre demande, il faut alors contacter l’agent responsable des changements d’école au sein du Ministère, au 02/690.84.00.

Lorsque la demande de dérogation est acceptée, elle peut aussi être valable pour les frères et sœurs de l’élève concerné.

Changement d’option et de forme en cours d’année

L’enseignement secondaire ordinaire comprend quatre formes d’enseignement :

  • Général (G)
  • Technique (T)
  • Artistique (A)
  • Professionnel (P)

Chacune de ces formes est organisée soit en section de transition (Tr), en section de qualification (Q), ou les deux. L’enseignement de transition a pour but de préparer aux études supérieures tandis que l’enseignement de qualification prépare davantage à l’apprentissage d’un métier à la vie profesionnelle

Ainsi :

  • L’enseignement technique et artistique est organisé en section de transition (Tr) et en section de qualification (Q) ;
  • L’enseignement général est organisé en section de transition ;
  • L’enseignement professionnel est organisé en section de qualification.

Chaque section propose plusieurs options d’études (ex : sciences, éducation artistique, sciences sociales, électricité, restauration, techniques sociales et d’animation, infographie, boulangerie, mécanique, services sociaux, fleuriste, etc.)
Retrouvez toutes les sections et options sur l’Annuaire des écoles d’enseignement secondaire.

Le changement d’option (ex : passer de l’option Agriculture à l’option Restauration) et/ou de forme (ex : passer de l’enseignement général à l’enseignement artistique) peut être facile ou compliqué en fonction de l’année d’études considérée.

Dans le 1er degré du secondaire

A proprement parler, il n’existe pas d’option ou de forme d’enseignement dans le premier degré de l’enseignement secondaire. Le principe est qu’un élève du 1er degré doit soit avoir obtenu son CE1D pour accéder aux options et formes d’enseignement à partir de la troisième année. Cependant, il existe quelques changements d’orientation dans le premier degré, qu’il est ici utile de rappeler.

Il est possible de passer d’une 1ère année différenciée (1D)* vers une 1ère année commune (1C) jusqu’au 14 novembre inclus sous certaines conditions :

  1.  L’accord des parents ou de la personne investie de l’autorité parentale ;
  2.  L’élève est âgé de 12 ans au moins au 31 décembre qui suit le début de l’année scolaire en cours ;
  3.  L’élève a suivi une 6e année primaire ;
  4.  L’élève a obtenu l’avis favorable du Conseil d’admission.

Il est aussi possible d’orienter un élève qui est en 2e Supplémentaire (2S)** vers une 3e Professionnelle (3P) jusqu’au 14 janvier inclus si les conditions suivantes sont remplies :

  1. L’élève possède le CEB ;
  2. Un projet est construit entre l’élève, le Centre PMS et le Conseil de classe de la 2S ;
  3. Les parents de l’élève marquent leur accord.

* Accessible aux élèves ayant suivi une 6e primaire sans être titulaire du CEB ou aux élèves âgés de 12 ans au 31 décembre  de l’année qui suit sans avoir fréquenté de 6e primaire.

** Accessible aux élèves ayant suivi une 2C, ayant effectué moins de 3 ans au sein du 1er degré et n’ayant pas obtenu le CED1 ou aux élèves ayant suivi une 2D, titulaires du CEB ou non ou aux élèves ayant suivi 2 ans au sein du 1er degré dans un établissement organisé, subventionné ou reconnu par la Communauté flamande ou germanophone.

En 3e, 4e, 5e et 7e années du secondaire : une certaine liberté

En 3e, 4e, 5e et 7e années du secondaire, le changement d’option ou de forme est possible jusqu’au 15 mai. Mais le changement ne peut être effectué que si l’élève répond aux conditions d’admission de la forme ou de l’option d’enseignement souhaitée.

Si le changement intervient avant le 16 novembre, il s’effectue directement et sans l’accord du Directeur.

Si le changement intervient entre le 16 novembre et le 15 mai, l’accord du Directeur après avis du Conseil de classe est obligatoire.

Le changement peut être refusé pour des raisons légales et organisationnelles invoquées par le Directeur (ex : la taille des classes).

En 6e secondaire

Pour des raisons de continuité pédagogique, le changement de forme ou d’option est interdit en 6e année secondaire.

La 5e et la 6e années doivent se faire dans la même forme et la même orientation d’études.

L’élève qui souhaite changer d’orientation en 6e année doit  recommencer une 5e année dans la nouvelle orientation souhaitée.

Contrairement à la situation d’avant 2022, il n’existe plus aucune possibilité de dérogation ministérielle auprès de l’administration.

Pour plus d’informations sur les changements d’options et de formes d’enseignement, consulter : https://monorientation.be/mes-possibilites-en-secondaire

Voir aussi :

MAJ 2025




Sida et droits

Le sida a changé de nombreux rapports au sein des couples mais aussi dans les relations employeur/employé, élève/école, etc. Personne n’est réellement à l’abri de discriminations. Pour faire un rapide tour d’horizon, il suffit de penser aux tests de dépistage obligatoires dans certaines entreprises, au refus d’inscrire un enfant séropositif dans une école, à la soumission, pour la délivrance d’un visa dans certains pays, à un dépistage du sida.

En Belgique, en matière de discriminations, la Loi du 10 mai 2007 tendant à lutter contre certaines formes de discriminations (mise à jour 6 août 2024) peut s’appliquer dans les cas de discrimination fondée sur l’état de santé actuel ou futur. La loi interdit toute discrimination fondée sur l’âge, l’orientation sexuelle, l’état civil, la naissance, la fortune, la conviction religieuse ou philosophique, la conviction politique, la langue, l’état de santé actuel ou futur, un handicap, une caractéristique physique ou génétique ou l’origine sociale.

En Belgique, il n’y a pas de législation spécifique sur le sida, ce sont les dispositions légales de droit commun qui sont d’application dans différentes situations : accueil des enfants, droit au travail, secret médical et respect de la vie privée, assurances, etc. De nombreux textes légaux garantissent la protection de la vie privée de chacun et le droit pour toute personne de garder secrètes des informations relatives à son état de santé.

En 2017, l’Observatoire du sida et des sexualités (Université Saint-Louis) et Unia ont réalisé une enquête, à travers les signalements traités par UNIA depuis 2003, qui indique que les discriminations envers les séropositifs perdurent :

  • En ce qui concerne les biens et les services : la plupart des signalements analysés concerne un refus d’assurance ou une surprime en raison de la séropositivité du demandeur. La non-confidentialité des informations médicales (par exemple pour les assurances-groupes professionnelles) est également problématique.
  • En ce qui concerne le travail : un quart des signalements concerne essentiellement des licenciements ou des non-renouvellements de contrat qui surviennent après la divulgation de la séropositivité ou les absences du travailleur en raison d’une détérioration de l’état de santé.
    Le harcèlement ou le blocage de carrière et les tests de dépistage obligatoires ou réalisés à l’insu, peuvent aussi mener à une pression, à la démission voire au licenciement.
    Il y a régulièrement des exclusions d’une formation professionnelle liées au fait que le demandeur est confronté à un questionnaire médical ou une visite médicale.
  • En ce qui concerne la vie privée : même les personnes n’ayant pas été discriminées ont intériorisé le risque de pouvoir l’être et anticipent donc ce traitement différentiel en se mettant elles-mêmes à l’écart. Il ressort très clairement de cette enquête que les conséquences sont nombreuses et ne se limitent pas à un déni d’égalité dans l’accès aux ressources et positions, elles suscitent également des sentiments délétères (injustice, abandon, trahison, honte) susceptibles d’aggraver l’état de santé des personnes vivant avec le VIH. De plus, beaucoup, afin d’esquiver ou anticiper les discriminations, adoptent une stratégie du silence, en ne divulguant pas leur statut sérologique. Or, ces deux éléments conjugués vont à l’encontre des recommandations de la politique de lutte contre le sida.
  • En ce qui concerne l’accès au séjour pour les étrangers : la séropositivité n’est pas toujours reconnue par l’Office des étrangers comme élément donnant droit à une autorisation de séjour pour motifs médicaux (Loi sur l’accès au territoire, le séjour, l’établissement et l’éloignement des étrangers 15 décembre 1980 article 9ter). A la difficulté de gérer le VIH, se rajoutent l’incertitude du statut administratif et l’impossibilité de trouver un emploi et donc un revenu.

Source : Unia

Après avoir effectué un test d’embauche, l’employeur exige un test de dépistage du SIDA. Est-ce légal ?

Ce n’est évidemment pas légal mais entre la législation et les pratiques de certaines entreprises ou administrations, le fossé est grand.

En ce qui concerne, la législation, la Loi du 28 janvier 2003 relative aux examens médicaux dans le cadre des relations de travail (mise à jour 15 février 2023), interdit le test de dépistage du VIH.

Personne n’est obligé de révéler sa séropositivité à un employeur, ni durant le processus d’embauche, ni durant l’exécution du contrat ou lors d’une incapacité de travail. Les principes du respect de la vie privée sont inscrits à l’article 22 de la Constitution belge et dans la loi du 30 juillet 2018 relative à la protection des personnes physiques à l’égard des traitements de données à caractère personnel. La loi du 22 août 2002 sur le droit des patients a rappelé ce principe : la vie privée du patient doit toujours être respectée.

Lorsqu’on est séropositif, est-il possible de contracter une assurance ?

Il est possible que votre demande d’affiliation soit refusée ou que vous deviez payer une prime supplémentaire.

En effet, certaines compagnies d’assurance prévoient des clauses discriminatoires qui excluent explicitement les personnes séropositives ou malades du sida.

La loi du 25 juin 1992 sur le contrat d’assurance terrestre interdit aux assureurs de réclamer des tests génétiques mais ce n’est pas le cas pour les prises de sang. Donc, dans le cas où une prise de sang est demandée, vous êtes tenu d’informer de votre statut et tout mensonge est vu comme une fraude à l’assurance. Il ne faut pas oublier que dans la plupart des cas, le preneur d’assurance est tenu de révéler tous les éléments qui permettent à l’assureur d’évaluer au mieux le risque et qu’une omission peut mener à la nullité du contrat. Donc si une compagnie d’assurance exige de déclarer sa séropositivité pour conclure un contrat, mieux vaut la déclarer au moment de la demande, sinon vous risquez de perdre la couverture de l’assurance s’il y a des complications ou un décès.

Il existe toutefois une exception concernant l’assurance hospitalisation. En effet, l’assureur ne dispose que de deux ans pour faire annuler un contrat d’assurance hospitalisation au motif que le preneur d’assurance avait connaissance de sa contamination au VIH au moment de la conclusion du contrat. Une fois ce délai de deux ans (à partir de la conclusion du contrat) passé, l’assureur ne peut plus invoquer la séropositivité du preneur comme motif d’annulation du contrat.

Une personne atteinte de maladie chronique peut porter plainte pour discrimination en cas de refus d’affiliation ou de surprime seulement si la justification de l’assureur n’est pas proportionnée et raisonnable. Il est donc toujours difficile d’obtenir un prêt à la consommation ou une assurance (vie, hospitalisation).

Unia rappelle qu’un Tribunal pourrait estimer qu’il n’y a pas de discrimination dans le cas d’une surprime qui compenserait le risque pris par l’assureur. Les compagnies d’assurance ne sont pas des organismes philanthropiques mais des entreprises commerciales à but très lucratif.

Les parents d’un enfant séropositif peuvent rencontrer des difficultés à trouver une école acceptant de l’inscrire. Qu’en est-il au niveau de la loi ?

En novembre 2002, une circulaire ministérielle est parue concernant l’accueil des enfants et adolescents infectés par le VIH dans les institutions dépendant de la Communauté française ou subventionnées par celle-ci.

Cette circulaire précise qu’il est hors de question de refuser l’inscription d’un enfant ou d’exclure un enfant ou un membre du personnel sur base de sa séropositivité. Il existe, d’une part, une obligation de discrétion professionnelle de la part des enseignants et des éducateurs concernant la santé des enfants. D’autre part, les parents n’ont aucune obligation d’informer l’école de la séropositivité de leur enfant puisque dans le cadre de rapports quotidiens il n’y a aucun risque qu’un enfant séropositif transmette le virus à quelqu’un de son entourage. Cependant, si les enseignants apprennent la séropositivité de l’enfant fortuitement, les réactions sont parfois très négatives car les enseignants ou les éducateurs ne sont pas toujours préparés à l’accueil d’un enfant séropositif.

L’école, elle-même, peut aussi subir de fortes pressions d’autres parents informés de la séropositivité d’un enfant. La peur et la mauvaise information des parents est un élément important à gérer. C’est évidemment aux parents à prendre la décision. Une possibilité est d’informer une personne de confiance au sein de l’école qui pourrait aussi être une personne de référence pour leur enfant.

Est-il vrai que certains pays restreignent l’entrée sur leur territoire aux personnes séropositives ?

Lorsque vous voyagez, rien ne vous oblige à dévoiler votre statut sérologique mais vous allez devoir prendre avec vous vos médicaments identifiables par la douane comme médicaments anti-VIH (demandez à votre pharmacien d’identifier vos médicaments par leur nom scientifique).

De nombreux pays, territoires et régions n’imposent pas de restrictions à l’entrée, au séjour et à la résidence liées au VIH. Parmi les pays qui en imposent encore, notons que les restrictions concernent de moins en moins les voyages de courte durée que l’établissement de longue durée.

A cet égard, en 2014, l’Australie s’est engagée à ce que les demandes de visas pour une résidence de longue durée émanant de personnes vivant avec le VIH soient traitées sur la base des critères applicables à toute personne souffrant d’une maladie chronique.
Quelques pays imposant des restrictions :

  • En Arabie Saoudite – Un Certificat de test VIH est requis pour toute personne qui demande un permis de travail et de séjour.
  • En Chine – Les visiteurs de courte durée ne sont soumis à aucune restriction, mais les visas de travail et d’études de plus de six mois doivent être assortis d’un test de dépistage du VIH.
  • A Cuba -les étudiants souhaitant obtenir une bourse d’études pour Cuba doivent passer des tests. Un test de dépistage du VIH est obligatoire pour les ressortissants étrangers qui souhaitent rester à Cuba plus de trois mois.
  • En Israël – Les demandeurs de permis de travail doivent subir un bilan de santé, y compris un test de dépistage du VIH.
  • En Malaisie – Un bilan médical complet est exigé dans le mois suivant l’arrivée et sur une base annuelle.
  • Au Nicaragua – Pour les séjours de plus de 3 mois, la présentation d’un certificat médical est demandée.
  • En République Dominicaine – Des restrictions s’appliquent aux demandeurs de permis de travail et de séjour.
  • En Russie – Un résultat négatif au test VIH est exigé pour les séjours de longue durée (plus de trois mois), pour les étudiants et pour les salariés étrangers.

Ces mesures sont de plus en plus critiquées par les organisations internationales, qui soulignent qu’elles ne contribuent pas à la protection de la santé publique et renforcent la stigmatisation des personnes vivant avec le VIH.

La situation des pays imposant des restrictions peut évaluer. Ainsi, en octobre 2021, la Nouvelle-Zélande a retiré le VIH de la liste des conditions médicales jugées susceptibles d’imposer des exigences ou des coûts importants au système de santé néo-zélandais. Taïwan et la Corée du Sud ont également récemment levé ces restrictions, montrant un mouvement vers des politiques plus inclusives.

En janvier 2013, la Mongolie a adopté une législation de grande envergure supprimant, entre autres, les restrictions à l’entrée, au séjour et à la résidence liées au VIH et les restrictions à l’emploi empêchant les personnes vivant avec le virus d’exercer certains métiers, notamment dans l’industrie alimentaire.

Si vous partez à l’étranger, visitez le site http://www.hivtravel.org, base de données qui répertorie, pays par pays, comment chaque gouvernement du monde impose ou n’impose pas de restrictions quant à l’entrée, au séjour des étrangers séropositifs. Vous pouvez également contacter l’ambassade du pays où vous allez voyager. Ces mesures de stigmatisation et de discrimination sont souvent appelées « restrictions voyages ».

Voir aussi :

MAJ 2024




Drogues à l’école

De temps en temps, on voit dans la presse que des opérations policières de contrôle et de fouille de groupes d’élèves sont menées dans les écoles à la demande des directions. Cela pose toute une série de questions au niveau des droits fondamentaux notamment sur le respect de la vie privée (Constitution belge à l’article 22 pour les majeurs et Convention internationale des droits de l’enfant, article 16 pour les mineurs). Nous essayons ici de faire un résumé des droits et devoirs de chacun.

En ce qui concerne les drogues, il est évidemment interdit d’en détenir ou d’en consommer à l’école tout comme le tabac ou l’alcool. La détention de cannabis à l’école, en présence de mineurs, est considérée comme une nuisance publique. D’ailleurs cela peut constituer un motif d’exclusion définitive (Article 25,8° du Décret du Conseil de la Communauté française du 30 juin 1998 visant à assurer à tous les élèves les mêmes chances d’émancipation sociale)

Le principe est qu’une direction d’une école doit autoriser la police à entrer dans l’école ou l’internat. Ce qui veut dire qu’en dehors des hypothèses prévues par la loi, le chef d’établissement peut refuser l’accès aux policiers.

Une école est un bâtiment privé, ce n’est pas un lieu public, l’école bénéfice donc de la protection attachée au domicile privé. Cette protection s’attache aux bâtiments occupés par les élèves et à leurs effets personnels.

Remarques :  Certaines parties d’un campus universitaire sont accessibles au public. Rien n’empêche alors la police d’y entrer.

La police ne peut donc entrer et faire des fouilles dans un établissement scolaire que dans des conditions très précises :

  • Sur réquisition ou avec l’accord des personnes (la direction) qui ont la jouissance des lieux.
    Attention : Même si l’autorisation du directeur est donnée aux policiers, cela ne veut pas dire que toutes les opérations qu’ils effectuent dans l’école sont légales.
    Par exemple, venir avec des chiens renifleurs et immobiliser tous les élèves pour vérifier qu’il n’y a pas de drogue dans l’école, ce n’est pas légal.

    De simples suspicions de détention ou trafic de drogues à l’intérieur de l’école ne peuvent jamais suffire à autoriser le reniflage et la fouille des élèves. Dans ce cas de figure, les policiers ne disposent d’aucune base légale pour procéder à des actes portant atteinte aux droits et libertés des élèves ou qui impliquent un acte de contrainte.

    Un Directeur peut par contre autoriser la police à entrer dans son école pour y dispenser une séance d’information relative aux drogues, il s’agit alors d’une action de prévention éducative. Le recours à d’autres acteurs que des policiers peut être toutefois privilégié eu égard au rôle répressif de ces derniers. Un Directeur d’école devrait également obtenir l’autorisation des parents avant de faire venir des policiers pour ce genre d’information.

Sans l’accord de la Direction, seules les hypothèses suivantes permettent à la police d’entrer dans une école :

  • Sur mandat du juge d’instruction. Les hypothèses de délivrance de mandat d’arrêt, d’amener ou de perquisition sont rares dans ce cadre. Dans le cas où la police détient un mandat de perquisition, la fouille ne peut concerner que la personne visée par ce mandat ;
  • Dans les cas de flagrant délit ;
  • S’il y a un danger grave et imminent ;
  • Si la police dispose d’indices sérieux que des majeurs font usage de drogues en présence de mineurs ou encore que l’école sert de lieu où des drogues y sont fabriquées ou entreposées. De simples suspicions ne suffisent pas : la police doit avoir des indices sérieux de culpabilité avant qu’elle entre dans l’école et envers des personnes individualisées.

Si une opération de police a lieu à l’école, le directeur de l’établissement doit veiller à ce que les droits des élèves soient respectés. Il doit informer les élèves de leur droit de se taire face à la police sur base de la présomption d’innocence, du droit de connaître les raisons de leur éventuelle arrestation. Toute décision à l’égard d’un élève mineur doit également être immédiatement portée à la connaissance des parents.

Si une fouille est effectuée, il s’agit ici d’une fouille judiciaire. On admet qu’un policier du même sexe que la personne fouillée l’oblige à se déshabiller complètement mais il lui est interdit de toucher la personne. Si une fouille corporelle doit être pratiquée, elle ne peut l’être que par un médecin. Cette fouille doit être faite individuellement, pas en groupe et pas en présence de la direction de l’école.

La police oblige parfois les élèves à rester dans un local. Ils sont en quelque sorte victimes d’une arrestation puisqu’ils sont privés provisoirement de liberté. Cette pratique en amont n’est pas légale. La police doit se comporter de manière réactive et non préventive : elle doit d’abord être en possession d’indices sérieux d’infraction avant de pouvoir procéder à une arrestation et fouille.

Le 7 juillet 2006, une circulaire du Ministre de l’intérieur renforçant la sécurité locale avec, en particulier, un point de contact pour les écoles avait été publiée.
Elle prévoit notamment que la police locale crée un point de contact permanent pour les écoles de son territoire. Les missions de la police vont ici au-delà de la loi sur la fonction de police, le risque de dérive sécuritaire est grand si on renforce le rôle de la police dans les établissements scolaires dont le rôle, utile, d’intervention d’urgence doit être maintenu.

La circulaire du 16 novembre 2010 de l’Administration générale de l’Enseignement et de la Recherche Scientifique relative aux “Ressources à disposition des établissements scolaires en matière de prévention des assuétudes en milieu scolaire”
Cette circulaire donne aux directions les outils et détaille avec précisions les partenaires de référence qui peuvent mettre en œuvre l’obligation de prévention. Elle ne porte pas uniquement sur les drogues, mais sur tous types d’assuétudes, tels que l’alcool, le tabac, le GSM et des conduites à risques en général. Elle précise qu’il est “essentiel de poser une limite claire par un rappel au règlement d’ordre intérieur et via des sanctions lorsque cela est nécessaire, ou de renvoyer à la loi de la société et aux sanctions pénales en cas de transgression grave“, il est “tout aussi essentiel d’agir en amont, en mettant en place un programme de prévention adapté au sein de l’école“. L’école doit privilégier une approche préventive qui “doit aller plus loin qu’une information ou une mise en garde contre les effets nocifs de la consommation de substances illicites (et licites), par exemple. La personne est au centre de la démarche (et non pas le produit et sa consommation). Ce qui est important, c’est de considérer le jeune dans sa globalité et tenter de comprendre le sens des consommations pour les adolescents, en tenant compte de leurs représentations. Cela permet de mieux appréhender ce que le jeune vit, sa réalité, son bien-être, le plaisir qu’il recherche en consommant, et de favoriser une prise de conscience des influences de son environnement (amis, famille, médias). Ce type de prévention ou d’accompagnement doit pouvoir aider le jeune à se situer par rapport à sa propre consommation et à réfléchir sur la liberté de ses choix“.

En termes de ressources disponibles, les dispositifs qui s’inscrivent dans une optique de prévention non répressive sont :

  • les Centres psycho-médico-social (CPMS) ;
  • les Services de promotion de la santé à l’école (SPSE) ;
  • les Points d’appui aux écoles en matière de prévention des assuétudes (PAA) ;
  • les Services de prévention des assuétudes subventionnés par la FWB ;
  • les autres Services (certains AMO) ;
  • les Centres de documentation.

On le voit, les écoles ont à leur disposition des services et partenaires tant pour une aide individuelle d’élèves qui présenteraient des difficultés que d’un point de vue collectif en vue de mettre sur pied des dispositifs de prévention. Du côté de la gestion, la Circulaire rappelle que le cadre des sanctions disciplinaires est celui du règlement d’ordre intérieur. La collaboration avec les Services de police doit être encadrée mais, dans le cadre d’une transgression de la loi et de sanctions pénales, “le chef d’établissement n’a pas à être amené à sortir de son rôle d’éducateur. Il n’est pas non plus tenu de mettre en cause sa responsabilité en dehors de ses obligations légales“. En autorisant, par exemple, des interventions policières musclées et des fouilles collectives, les directions sortent de leur rôle d’éducateur et mettent en cause leur responsabilité alors qu’il ne s’agit pas d’une obligation légale. Enfin, la Circulaire dénonce expressément la confusion entre prévention et opérations sécuritaires. Elle précise ainsi qu’une clarification des rôles de chacun est indispensable : “L’école éduque et la police sanctionne” et “la prévention est une compétence des Communautés et non pas du fédéral. Le secteur psycho-médico-social est responsable de la prévention de l’abus de drogues » tandis que « les Services de police sont quant à eux responsables de la prévention de la criminalité (éventuellement liée à la drogue) ». La Circulaire attire dès lors l’attention des établissements scolaires “sur la grande prudence à observer quant au recours à des services de police pour des activités de prévention dans l’école. Ce type de programme reflète une confusion des rôles prévention – sécuritaire qui risque de compromettre l’objectif poursuivi“.
Source : Infor Drogues 

La prévention par la crainte est une des stratégies les moins efficaces. L’insécurité, l’angoisse, la stigmatisation peuvent pousser à la consommation. L’évaluation des programmes de prévention montre que les plus efficaces sont ceux qui s’articulent autour d’un travail sur l’estime de soi, qui se centrent sur les personnes et leurs réalités, sur l’éducation par les pairs et sur la promotion de la santé. Il est important de maintenir le dialogue entre les élèves et le corps enseignant. L’objectif est de construire un espace de confiance.

Voir aussi :

MAJ 2024




Ecoles de devoirs schaerbeekoises

Même si dans « école de devoirs » apparaît le mot école et devoirs, ce ne sont pas pour autant des écoles au sens habituel du terme. Elles proposent de l’aide aux devoirs et/ou l’apprentissage d’une méthode de travail aux enfants et jeunes du primaire et/ou du secondaire, après les cours, pendant l’année.

Certaines d’entre elles organisent des cours de remédiation pendant l’année (aide dans les matières les plus faibles, manque de confiance en soi, difficulté à se concentrer …) et du rattrapage scolaire pendant les vacances.  D’autres encore fonctionnent en Entraide scolaire ou Tutorat (les élèves plus qualifiés aident les autres).

Elles s’adressent surtout aux enfants et jeunes issus de milieux défavorisés ou démotivés par l’école ou parfois en décrochage scolaire. Elles veulent donner à tous les enfants et aux jeunes, les mêmes chances de réussite scolaire et de développement de leur potentialité et luttent contre l’échec scolaire.

Adresses à Schaerbeek

ACTION JOSAPHAT
Rue Philomène, 41
1030 Schaerbeek
02/223.14.89
actionjosaphat@actionjosaphat.be
www.actionjosaphat.be
Age : 12 à 15 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi de 15h30 à 19h30, mercredi de 13h à 19h – samedi de 10h à 13h pour la remédiation mathématiques
Aide aux devoirs et remédiation scolaire pour élèves de la 1ère à la 3ème secondaire primo-arrivants ou non

AGISSONS ENSEMBLE
Rue Charles Meert, 33
1030 Schaerbeek
02/248.17.83
agissonsensemble_1030@hotmail.be
Age : enfants du primaire de 6 à 12 ans, priorité aux enfants des logements sociaux ou du quartier
Horaires : 4x/semaine
Prix : petite participation
Aide aux devoirs

AMIS D’ALADDIN (LES) (Membre de la CEDD)
Rue Destouvelles, 18
1030 Schaerbeek
0487/59.10.39
coordinational@amisaladdin.be
Age : enfants du primaire de 6 à 12 ans du quartier Reine-Progrès
Atelier de renforcement du français (priorité aux primo-arrivants ou en difficulté de la langue française)
Age : 2e et 3e maternelle des écoles partenaires
Atelier langage français

ATELIER DES PETITS PAS (Membre de la CEDD)
Rue de la Marne, 12
1030 Schaerbeek
02/216.52.04
atelier.despetitspas@gmail.com
www.atelierdespetitspas.com
Age : enfants du primaire – 5 à 8 ans
Prix : 65€ à 75€/trimestre
Soutien éducatif pour les enfants de 3ème maternelle à la 2ème primaire

BLE EN HERBE (LE) (Membre de la CEDD)
Institut Sainte-Marie – Rue de Seutin, 17
Ile aux Bains – Rue Kessels, 51
Square Apollo, 2
1030 Schaerbeek
Horaires : lundi, mardi, jeudi, vendredi de 15h à 17h30, me de 12h à 17h30
02/216.84.89 – 0489/97.86.89
direction@lebleenherbe.be
www.lebleenherbe.be
Age : enfants du primaire – 6 à 12 ans
Aide aux devoirs et activités créatives, ludiques ou sportives pour les enfants du primaire

BOUILLON DE CULTURES (Membre de la CEDD)
AURORA
Rue Philomène, 41
1030 Schaerbeek
02/210.94.23
aurora@bouillondecultures.be
www.bouillondecultures.be
Age : enfants du primaire – 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi, vendredi de 15h15 à 18h ; mercredi de 13h30 à 17h
Prix : 70€/an, prix dégressifs si plusieurs enfants inscrits
Aide aux devoirs suivis d’ateliers créatifs et espace de jeux libres

ATOUTS POSSIBLES
Rue Philomène, 41
1030 Schaerbeek
02/210.94.20
secretariat@bouillondecultures.be
Age : jeunes de la 1ère à la 3e secondaire – 12 à 15 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 16 à 19h et mercredi de 14 à 18h
Prix : 70€/an, prix dégressif si plusieurs enfants inscrits
Aide aux devoirs, ateliers méthodologiques et remédiation (+ partenariat MJ avec activités variées, projets citoyens et espace accueil)

GES : GROUPE D’ENTRAIDE SCOLAIRE
Rue Philomène, 41
1030 Schaerbeek
02/210.94.33 – 02/210.94.20
ges@bouillondecultures.be
Age : jeunes de la 4ème secondaire et du supérieur – à partir de 15 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 16 à 19h et mercredi de 14 à 18h – samedi de 10h à 14h
Prix: 80€/an
Aide aux devoirs, ateliers méthodologiques et remédiation. aide au jury central, préparation d’examen d’entrée, recours. Projets culturels.
Stages de rattrapage d’été d’aide aux examens de seconde session pour élèves de la 1ère à la 6ème secondaire ou du supérieur
Prix : par semaine et par matière : 20€/période

CAMELEON BAVARD (LE)
Espace Zèbre – Rue Camille Simoens, 1
1030 Schaerbeek
02/346.56.11 – 0488/22.14.13
cameleonbavard@cameleonbavard.be
www.cameleonbavard.be
Age : enfants de 7 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 15h15 à 17h30
Prix : 70€/an
Soutien scolaire pour les enfants de la 1ère à la 4ème primaire

CEDAS – CENTRE DE DEVELOPPEMENT ET D’ANIMATION SCHAERBEEKOIS
Rue Verte, 210
1030 Schaerbeek
02/242.20.83
cedas.asbl@gmail.com
http://cedasasbl.be
Age : enfants du primaire – 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi, vendredi de 15h à 18h et mercredi de 12h à 18h
Prix : 65€/an (réductions si plusieurs enfants par famille)
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire et animations socioculturelles
Age :  jeunes de la 1ère à la 3ème secondaire – 12 à 15 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi de 16h à 18h30, mercredi de 13h à 18h et vendredi de 15h à 18h30
Prix : 50€/an (réductions si plusieurs enfants par famille)
Aide aux devoirs pour les étudiants de la 1ère à la 3e secondaire

CENTRE DES RESSOURCES HUMAINES
Institut Communal d’Enseignement Technique Frans Fisher – Site Ruche – Rue de la Ruche, 30
Institut Communal d’Enseignement Technique Frans Fisher – Site Eenens – Rue Général Eenens, 66
1030 Schaerbeek
02/240.17.80
jp.bartholeyns@gmail.com
Age: jeunes de 12 à 18 ans, élèves du secondaire de l’Institut Communal d’Enseignement technique Frans Fisher
Horaires : mardi et mercredi entre l’heure du midi
Aide aux devoirs

CLUB DES PETITS DÉBROUILLARDS DE LA RÉGION BRUXELLOISE
ACADEMIE DES SAVOIRS
Rue Vogler, 38
1030 Schaerbeek
02/268.40.30
info@lespetitsdebrouillards.be
http://www.lespetitsdebrouillards.be/
Académie des savoirs Vogler
Rue Vogler, 38
Age : enfants de la 3ème à la 6ème primaire & adolescents du secondaire
Horaires : lundi au vendredi de 15h30 à 17h30 (primaire), lundi, mardi, jeudi et vendredi de 17h à 18h30 (secondaire)
Prix : Tarification fixée selon la convention entre les parents et l’Académie
Soutien et accompagnement scolaire pour élèves du primaire et du secondaire

Académie des savoirs Reyers
Rue du Colonel Bourg, 5
Age : enfants de la 3ème à la 6ème primaire
Horaires : lundi, mardi, jeudi, vendredi de 16h à 17h et de 17h à 18h
Prix : Tarification fixée selon la convention entre les parents et l’Académie
Soutien et accompagnement scolaire pour élèves du primaire

CREACTIONS
Rue Stephenson, 82
1030 Schaerbeek (1000 Bruxelles à la limite de la Commune de Schaerbeek)
02/241.48.28
info@creactions.be
www.creactions.be
Age : enfants de la 3ème à la 6ème primaire et du secondaire
Accompagnement, aide aux devoirs et méthodologie

CULTURES & ELLES
Place de la Reine, 11
1030 Schaerbeek
0488/32.03.40
cultures-elles@live.be
https://cultures-elles.be
Age : Enfants du primaire
Horaires : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 15h à17h
Prix : 25€, 20€/cpas
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire

DARNA
Avenue Rogier, 148
1030 Schaerbeek (Siège social)
0485/00.44.40
contact@darna.be
asbl.darna@gmail.com
https://www.darna.be/
Maison de Quartier – Chaussée de Haecht, 535
Age : enfants de 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi et jeudi de 16h30 à 18h30
Prix : 5€/mois + 20€/frais d’inscription
Aide aux devoirs et soutien scolaire pour élèves du primaire

Square Apollo, 2
Age : jeunes de 13 à 18 ans
Horaires: lundi, mardi et jeudi de 17h à 19h
Prix : 10€/mois
Aide aux devoirs et soutien scolaire pour élèves du secondaire

EDI – ESPACE DE DIALOGUE INTERCULTUREL
Rue Gallait, 131
1030 Schaerbeek
0487/95.78.26
ediasbl@hotmail.com
Facebook
Age : enfants du secondaire de 12 à 18 ans
Horaires : lundi de 16h30 à 18h30, mercredi de 14h à 18h, jeudi de 17h à 19h, samedi de 10h à 14h
Prix : 10€/mois
Aide aux devoirs, soutien scolaire et remédiation en français, néerlandais, anglais, sciences, mathématiques, biologie, physique et chimie
Préparation aux examens du CEB et du CE1D

ESPERLUETE (L’) (Membre de la CEDD)
Rue de l’Agriculture, 182
1030 Schaerbeek
02/216.22.57
coordination@esperluete.be
https://lesperluete.be/
Age : enfants du primaire de 6 à 12 ans
Horaires: lundi de 15h20 à 17h, mardi, jeudi de 15h20 à 18h30, mercredi de 13h à 14h
Prix : 60€/an
Age : jeunes de 1ère à la 3ème secondaire de 12 à 15 ans
Horaires :  mardi, mercredi ou jeudi après-midi
Prix : 60€/an
Soutien scolaire pour les élèves de 1ère à la 3ème secondaire le mardi, jeudi de 17h à 18h30, mercredi de 14h à 17h

GAFFI – GROUPE D’ANIMATION ET DE FORMATION FEMMES IMMIGREES (Membre de la CEDD)
Rue de la Fraternité, 7
1030 Schaerbeek
02/221.10.17
coordination.aes@gaffi.be
www.gaffi.be
Age : enfants du primaire – 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi et jeudi de 16h à 17h
Prix : 40€/an
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire

GENERATIONS
Rue François Joseph Navez, 39
1030 Schaerbeek
0487/58.30.66
info@generations-ajial.be
www.generations-ajial.be
Age : enfants et adolescents du primaire et du secondaire.
Aide aux devoirs, soutien scolaire pour élèves du primaire et du secondaire (français, mathématiques, histoire, néerlandais, anglais, sciences, sport, citoyenneté, économie…)

GERBE AMO (LA)
Rue Séverin, 46
1030 Schaerbeek
02/242.89.21
info@lagerbeamo.be
www.lagerbeamo.be
Age : enfants de 3ème à 6ème primaire – 8 à 12 ans
Horaires : lundi, jeudi de 15h30 à 17h
Prix : gratuit
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire
Age : jeunes du secondaire – 12 à 14 ans
Horaires : mardi de 16h à 18h
Prix : gratuit
Accompagnement et aide aux devoirs pour les élèves du 1er degré secondaire
Age : jeunes du secondaire – 14 à 19 ans
Horaires : mercredi de 14h à 17h
Prix : gratuit
Accompagnement et aide aux devoirs pour les élèves du 2ème et 3ème degrés

MAISON DAILLY – HSS
Rue de la Consolation, 72
1030 Schaerbeek
02/737.72.11
Stephanie.Proano@hss1030.be
https://www.facebook.com/maison.dailly/
Age : enfants du primaire – 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 15h30 à 17h30
Prix : 25€/an
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire

MAISON DE QUARTIER D’HELMET (Membre de la CEDD)
Square Riga, 39
1030 Schaerbeek
02/215.04.96
florence.azama@mqh.be
https://www.mqh.be
Age : enfants du primaire – 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi de 15h30 à 17h
Prix : 80€/an, 30€/trimestre, 70€/an pour le 2ème enfant même famille ou 25€/trimestre
Ateliers pédagogiques et aide aux devoirs, suivis de l’espace éveil

MAISON DES ENFANTS VAN DYCK
Rue Van Dyck, 52
1030 Schaerbeek
02/219.46.70
maisondesenfantsvandyck@gmail.com
Age : enfants du primaire
Horaires : mardi et jeudi de 15h15 à 17h, mercredi de 13h30 à 16h
Prix : 12€/an
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire

MONDIAL SPORT & CULTURE
Chaussée d’Helmet, 71
1030 Schaerbeek
02/216.07.97 – 0487/55.60.02
abdel_elakel@msn.com
Page Facebook
Age : enfants du primaire de 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi, vendredi de 16h à 18h
Prix : 20€/mois ou 200€/an
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire

PARTENARIAT D+ DE SCHAERBEEK & SAINT-JOSSE
Ecoles partenaires de Schaerbeek
1030 Schaerbeek
02/217.11.14
info@partenariatdplus.be
Age : enfants de 6 à 12 ans des écoles de devoirs partenaires de Schaerbeek et de St-Josse
Horaires : 3x/semaine

RASQUINET (Membre de la CEDD)
Rue Josaphat, 174
1030 Schaerbeek
02/245.74.34
bureau@rasquinet.org
www.rasquinet.org
Age : enfants du primaire du quartier Josaphat – 6 à 12 ans
Horaires : lundi, mardi, jeudi, vendredi de 15h à 18h
Prix : 60€/an
Aide aux devoirs pour les enfants du primaire

RESIS
Rue Dupont, 26
1030 Schaerbeek
0491/13.77.86
edd@resis.be
https://resis.be/
Age : 10 à 15 ans
Horaires : Lundi, mardi, jeudi et vendredi de 16h30 à 18h30
Prix : 5€/mois
Aide aux devoirs, soutien scolaire pour élèves de la 5ème primaire au 1er degré du secondaire. Aide à la réussite. Préparation CEB et CE1D.

SAME-SAME BRUSSELS
Rue Royale Sainte-Marie, 92-94
1030 Schaerbeek
02/732.40.77 – 0484/63.95.94
samesamebrussels.coord@hotmail.com
Facebook
Age : 8 à 15 ans
Horaires : lundi au jeudi de 17h à 19h
Prix : 75€/an
Aide aux devoirs, soutien scolaire pour élèves de la 2ème primaire au 1er degré du secondaire

SUPER ÉTUDIANT
Place Gaucheret, 20
1030 Schaerbeek
0470/35.81.56
superetudiant2024@gmail.com
Age : enfants du primaire de 6 à 12 ans
Aide aux devoirs, remédiation scolaire pour les enfants du primaire
Prix:  90€/an

ZONE FEMMES
Rue Royale Sainte-Marie, 69
1030 Schaerbeek
0470/03.24.27
info@zonefemmes.com
https://www.zonefemmes.com
Age : enfants du primaire de 6 à 12 ans
Horaires : mardi de 16h à 18h, mercredi, samedi, dimanche de 13h à 15h
Prix : 5€/h

Et pour trouver une école de devoirs affiliée en dehors de Schaerbeek ?

FFEDD
ONE

Voir aussi :

MAJ 2024