Vous avez envie de récolter des fruits en Provence, de travailler comme animateur ou animatrice dans un centre de vacances en Martinique, etc. ? Faire un job à l’étranger durant les vacances peut être une bonne expérience personnelle et professionnelle. Le combo idéal ? S’offrir un voyage tout en travaillant ! Oui, mais comme toujours, mieux vaut être bien préparé. Il faut évidemment définir le secteur dans lequel vous souhaitez travailler avant de vous lancer à la recherche du job qui vous permettra d’allier expérience professionnelle, personnelle, salaire et dépaysement.
Cadre légal, impôts et allocations familiales
L’étudiant qui part effectuer un job étudiant à l’étranger est soumis à la législation du pays dans lequel il exerce son job. Ainsi, un étudiant belge qui travaille comme animateur en France devra se référer au droit du travail français ainsi qu’à la réglementation française en matière d’âge minimum, de sécurité sociale et d’impôts. Les jours prestés à l’étranger n’auront par contre pas d’incidence sur son quota de 650 heures en Belgique. Ainsi, en rentrant en Belgique après son job en France, notre étudiant belge retrouvera au compteur de son contingent annuel le même nombre d’heures dont il disposait avant de partir en France.
Attention, si l’étudiant travaille pour un employeur belge tout en prestant ses heures de travail à l’étranger, c’est le cadre légal belge qui s’applique et les heures de travail effectuées seront bien déduites de son contingent annuel.
Étant donné que l’étudiant conserve sa résidence principale en Belgique (il reste domicilié en Belgique), il sera soumis à l’impôt des personnes physiques belge. Dans sa déclaration annuelle de ses revenus, il devra déclarer tous ses revenus, ceux perçus en Belgique et ceux en provenance de l’étranger. Il est devenu rare que les revenus étrangers soient taxés deux fois, par la Belgique et par le pays étranger. La majorité des pays ont en effet conclu des accords bilatéraux pour éviter une double imposition. Des informations à ce sujet peuvent être obtenues via le Call center mis à disposition par le SPF Finances.
Quant aux allocations familiales, avant 18 ans, les étudiants bénéficient d’un droit inconditionnel. Après 18 ans, a priori, l’étudiant perd son droit aux allocations familiales lorsqu’il part travailler à l’étranger. Il existe cependant quelques dérogations selon le projet (séjours de moins de 2 mois à l’étranger par exemple ou encore partir dans le cadre du Corps européen de solidarité durant son stage d’insertion professionnelle…) Renseignez-vous auprès de votre caisse d’allocations familiales.
Comment se préparer ?
Évaluez vos compétences par rapport à vos études, vos centres d’intérêts, vos connaissances linguistiques et informatiques. En Belgique, un avantage non négligeable est que beaucoup de personnes ont une connaissance de 2 langues : le français et le néerlandais ou le français et l’anglais. Pour travailler à l’étranger, le mieux est, évidemment, de maîtriser la langue du pays. Ensuite, définissez les grands secteurs et le pays dans lequel vous souhaitez chercher du travail.
Quels sont les secteurs qui engagent ?
L’agriculture est un secteur qui demande beaucoup de main-d’œuvre. Les fermes et coopératives proposent du travail saisonnier. Vous pouvez prospecter sur le terrain, directement dans les exploitations agricoles, sur les marchés, auprès de l’ambassade du pays qui vous intéresse ou sur internet.
Le tourisme est un secteur pourvoyeur d’emplois partout dans le monde. Les hôtels, campings, centres de vacances, restaurants, cafés, parcs d’attractions… ont toujours besoin de personnel, surtout aux périodes de vacances. Ici, avoir le sens de l’accueil, du dialogue et du service est indispensable. Beaucoup de jobs d’animateurs sont offerts, avoir un diplôme d’animateur est donc un avantage. De même, posséder un brevet de secouriste est utile. Connaître la langue du pays est évidemment indispensable. Vous pouvez trouver de nombreuses adresses dans les offices de tourisme des pays concernés.
La vente offre de nombreux postes : des boutiques qui doivent remplacer leur personnel en vacances aux festivals qui engagent ponctuellement en passant par la vente de glaces sur la plage, la palette est vaste.
Dans le secteur tertiaire, les sociétés d’assurance qui proposent des contrats d’assistance engagent souvent du personnel supplémentaire durant les vacances pour coordonner les opérations entre l’assuré en difficulté et les différents intervenants.
En pratique
Il faudra envoyer de nombreux CV, bien avant les vacances. Cherchez aussi sur internet. Vous pouvez envoyer votre CV par e-mail ou, sur certains sites, l’annexer directement dans un formulaire en ligne. Il existe aussi des guides en vente en librairie contenant de nombreuses adresses utiles.
N’oubliez pas que pour tout travail quel que soit le pays dans lequel il est presté, vous devez conclure un contrat écrit. Cela vous permettra notamment d’être certain de recevoir un salaire et d’être couvert par l’assurance de l’employeur en cas d’accident.
En dehors de l’Espace économique européen, si vous voulez exercer une activité professionnelle à l’étranger, il faudra obtenir un permis de travail. Si vous allez travailler dans un pays de l’Espace économique européen, votre carte d’identité suffit, mais ailleurs il faudra un passeport et un visa. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays concerné.
En ce qui concerne le remboursement des soins de santé, vous devrez vous procurer la carte européenne d’assurance maladie (CEAM) auprès de votre mutuelle d’origine en Belgique. Cette carte est valable dans tous les pays membres de l’union européenne (exceptée la partie turque de la Chypre), ainsi que la Suisse, l’Islande, la Norvège, la Macédoine du nord, le Liechtenstein, le Royaume-Uni et l’Australie.
Vous pouvez également obtenir la carte WAC (World Assistance Card) ou MAC (Medical Assistance Card) auprès de votre mutuelle ou de l’asbl MUTAS. Ce groupement de plusieurs mutualités apporte une assistance médicale aux affiliés des mutualités membres qui partent en vacances à l’étranger.
Pensez à votre santé avant de partir, aux vaccins éventuels et emportez des préservatifs fiables, la contraception est indispensable et le sida est un problème mondial !
Vous trouverez également sur notre site dédié à la Mobilité des Jeunes des pistes et astuces, des conseils, des organismes, des informations … pouvant vous aider à mettre en place votre projet !
Vous avez envie de partir à l’étranger, d’apprendre une langue, de faire un job, de travailler ou d’avoir une première expérience professionnelle ?
Voyager, découvrir une autre culture, un autre environnement scolaire ou professionnel, dans une autre langue en plus, peut se révéler très enrichissant personnellement, mais aussi un tremplin important pour votre avenir.
Mieux vaut bien préparer votre voyage. Réfléchissez à votre projet, évaluez le budget dont vous aurez besoin, pensez à l’éloignement de votre famille et de vos amis, organisez tous les aspects administratifs. En fonction de votre séjour, informez-vous sur votre pays de destination.
Il nous est impossible de vous donner ici tous les détails de ces préparatifs, surtout qu’ils seront différents pour chaque pays, nous avons voulu attirer votre attention sur les questions qu’il est important de se poser en amont de votre départ.
Avant de partir à l’étranger, quelles questions me poser ?
Vous devez avoir une idée claire de votre projet et des moyens que vous allez y consacrer, 6 mois à 2 ans avant votre départ, ce délai sera d’autant plus long que le séjour le sera.
Il faut donc répondre à toutes ces questions : Quels sont les motifs de mon départ ? Quel projet ? Comment ? Pour quoi faire ? Où ? Combien de temps ? Organisez bien l’aspect administratif de votre séjour, certaines démarches peuvent prendre pas mal de temps.
Par quoi commencer ?
Il est important de bien choisir le pays où partir. Cela veut dire apprendre à le connaître : sa géographie, son fonctionnement, ses institutions, son niveau de libertés individuelles, sa manière d’accueillir les étrangers, ses dangers ou ses régions à éviter, les vaccins indispensables et conseillés.
Si le français n’y est pas pratiqué couramment, apprenez des rudiments de la langue la plus utilisée, même si vous partez justement pour l’apprendre.
Si vous voulez y travailler, il faut vérifier que c’est possible (ce n’est pas toujours le cas), dans quels secteurs, et si ces derniers correspondent à vos envies.
Si vous voulez y étudier, il faut connaître l’organisation de son enseignement et les modalités d’inscription aux cours.
Qui peut m’aider ?
Infor Jeunes (www.jeminforme.be ou www.mobilitedesjeunes.be) peut vous aider à voir plus clair, à voir ce qu’il est possible ou pas d’envisager et à mieux cerner votre projet.
Une fois que vous saurez où vous voulez aller et pour quoi, il est toujours utile de vous documenter et de consulter de la documentation sur les différents projets possibles (au BIJ – Bureau International de la Jeunesse par exemple – si vous partez dans le cadre d’un projet international), question d’éviter certains pièges et de profiter des astuces d’autres personnes.
La plupart des pays ont des services spécialisés dans leurs ambassades ou leurs consulats pour renseigner les étrangers sur ce type de questions.
https://www.expatica.com/ (Informations aux expatriés sur différents pays européens et hors Europe aux expatriés en matière de visa, travail, études, enseignement, etc.)
Consultez également le site du gouvernement du pays concerné ou encore certains Offices de tourisme pouvant donner des informations intéressantes.
Avant de partir
Avant de partir, vous pourrez peut-être obtenir des aides financières pour votre projet à l’étranger : bourses d’études, projets internationaux, soutien à la coopération, chantiers volontaires à l’étranger… Cela ne coûte rien d’essayer, même si faire accepter son projet est souvent long, il faut s’y prendre à temps !
En fonction de votre projet, vous devrez probablement faire une série de démarches administratives (commune, sécurité sociale, mutuelle…).
Documents à emporter
Passeport, visa, permis de travail
Il faut savoir ce qui est exigé par le pays choisi :
Est-ce que votre carte d’identité suffit ? : C’est le cas dans les pays de l’EEE (Espace Économique Européen) et certains pays limitrophes sous certaines conditions. Hors EEE, votre carte d’identité belge ne suffira pas, il vous faudra un passeport (document officiel de voyage, utilisable partout dans le monde).
Faut-il un passeport ? : Si oui, vous devez le demander à l’administration de votre commune, il est délivré dans les 7 jours ouvrables. En Belgique, le prix des passeports varie en fonction de quatre critères : l’âge du demandeur (s’il est mineur ou majeur) ; la procédure de demande : standard, urgente ou très urgente ; le nombre de pages (32 ou 64 pages) et l’éventuelle taxe communale. Ainsi, il coûte entre 35€ (pour les mineurs) et 65€ (pour les majeurs) pour la procédure normale, et entre 210€ (pour les mineurs) et 240€ (pour les majeurs) pour la procédure urgente, sans compter les taxes communales variables. (Par exemple, la procédure à Schaerbeek est de 85€ pour un majeur et de 59€ pour un mineur. Dans la commune voisine de Saint-Josse, le prix sera de 65€ pour un majeur et de 35€ pour un mineur.) Il doit être en ordre de validité (7 ans pour les majeurs et 5 ans pour les mineurs) jusqu’au moment du retour. Il faut le renouveler avant la date d’expiration, donc prévoir le délai pour le recevoir.
Faut-il un visa ? : C’est-à-dire une autorisation d’entrer et de sortir du pays durant un certain temps ? Hors Europe, vous aurez en général besoin d’un visa qui vous autorise à entrer et séjourner dans le pays, à demander à l’Ambassade ou le Consulat du pays concerné avant votre départ.
Il y en a de plusieurs types selon la raison de votre voyage (études, travail, tourisme). Les procédures sont propres à chaque pays et les prix sont variables. Certains visas sont liés à une inscription dans une école du pays et à la durée des cours.
Faut-il un permis de travail : Si vous partez pour travailler hors Europe, il faudra certainement, en plus, un permis de travail. Il varie d’un pays à l’autre et selon la durée du séjour. Dans la plupart des cas, ce permis de travail doit être demandé en même temps que le visa. Dans certains cas, il le précède ainsi que la recherche de l’emploi car certains pays disposent de visas professionnels liés à un contrat de travail préétabli.
Inscrivez-vous sur TravellersOnline, le site du SPF Affaires étrangères. Le SPF pourra vous contacter rapidement en cas de crise majeure (catastrophe naturelle, crise politique, accident, etc.).
Permis de conduire : Votre permis de conduire belge est valable dans les États membres de l’Union Européenne et au Liechtenstein, en Norvège et en Islande (Espace Économique Européen), de même qu’au Royaume-Uni. Hors Europe, vous pourrez conduire avec un permis de conduire international que vous pouvez demander à votre administration communale avant votre départ.
CV et lettre de motivation
Si vous cherchez du travail à l’étranger, n’oubliez pas de les traduire et de les adapter aux habitudes et exigences des employeurs du pays.
Diplômes
Prenez une copie de vos diplômes, notamment si vous partez travailler.
Résidence
Si vous résidez pour une longue période à l’étranger (en principe un an), vous serez considéré comme temporairement absent et garderez votre inscription en Belgique. Les étudiants partis étudier à l’étranger peuvent être temporairement absents pendant plus d’un an.
Déclarez votre départ à la commune. Si vous ne voulez pas conserver une inscription en Belgique, vous recevrez une attestation de radiation.
Mutuelle et autres assurances
Pour des séjours courts, si vous travaillez ou étudiez dans un pays de l’Union européenne, demandez à votre mutuelle la CEAM (carte européenne d’assurance maladie) pour le remboursement de vos soins de santé. Pour des séjours longs, si vous travaillez en dehors de l’Union européenne, vous pouvez vous affilier à l’ONSS/Sécurité Sociale d’Outre-Mer.
Il peut être utile de contracter une assurance privée qui prévoit le rapatriement en cas de conflit ou de problèmes de santé.
Le niveau de vie
Il faut se renseigner sur la monnaie utilisée, sur son taux de change et sur ce que cela représente concrètement dans la vie de tous les jours. Combien coûte un pain, un ticket de cinéma, louer une voiture, une chambre, se nourrir… Cela vous permettra d’évaluer la somme à prévoir pour vivre et ce que vous permettra ce salaire durant votre séjour.
Payer, communiquer
Un autre pays, cela peut signifier d’autres modes de paiement et de communication. En Europe, ces moyens sont devenus plus ou moins identiques, mais ce n’est pas le cas partout ailleurs.
Il faut vérifier s’il n’est pas nécessaire de disposer, avant de partir, d’un compte en banque ou d’un mode de paiement particulier.
De même, il est important de savoir si votre téléphone portable, GSM ou smartphone fonctionnera dans le pays de destination : certains pays sont couverts par des longueurs d’ondes différentes des nôtres. Depuis 2017, il n’y a plus de frais supplémentaires pour utiliser votre smartphone en Europe. Hors Europe, les opérateurs de téléphonie mobile proposent des forfaits internationaux. Si vous avez un accès internet, des applications comme Skype, WhatsApp, Viber vous permettront de communiquer facilement avec vos proches, tout comme les réseaux sociaux.
Certains pays (la Grande-Bretagne, les USA, le Canada…) disposent de prises électriques différentes des nôtres. Sans un adaptateur (mieux savoir à l’avance où vous pourrez en acheter), aucun de vos appareils électriques, même rechargeables, ne fonctionnera sur place.
Se déplacer, se loger sur place
Ne pensez pas que vous réglerez ces questions sur place. Les premières semaines, voire tout le premier mois, doivent être entièrement programmées avant votre départ.
Comment va se passer le transport de l’aéroport (ou de la gare) au lieu de séjour ? Où allez-vous dormir ? Où allez-vous vivre, travailler ou étudier ? Tout cela doit être très clair pour vous et pour vos proches en Belgique.
Il faut bien comparer les prix des différentes solutions possibles, surtout au niveau du logement qui se révèlera un poste financier très important.
La plupart des pays proposent des formules de logement bon marché pour les étudiants ou pour les jeunes, notamment les auberges de jeunesse pour les courts séjours ou pour commencer sur place.
Les sociétés de transport ont des abonnements. Les restaurants scolaires et certaines cantines aussi. Si vous voulez vous déplacer en voiture, vérifiez si vous n’avez pas besoin d’un permis de conduire international.
Mieux vaut trouver rapidement les bonnes adresses pour ne pas voir son budget fondre en quelques jours.
Tout cela se trouve très vite sur internet via les moteurs de recherche généralistes, puis, via les sites spécialisés vers lesquels ils renverront. A vous de bien comparer.
Préparez votre retour
Après être parti pour des études ou pour travailler pendant quelques temps à l’étranger, vous devrez préparer tout aussi attentivement votre retour. Vous aurez toutes une série de formalités administratives à mettre en route mais il y aura d’autres aspects tout aussi importants : valoriser vos expériences liées à votre expatriation même s’il s’agit d’un PVT (Permis Vacances-Travail) ou d’un séjour linguistique, réintégrer des études, réorganiser votre vie sociale et/ou professionnelle, etc.
Le Corps européen de solidarité (CES) est un programme de mobilité de volontariat ou de solidarité gratuit destiné aux jeunes de 17 à 30 ans (et ce, indépendamment de leur milieu d’origine, de leur parcours éducatif, de leur niveau de compétences, de leur niveau linguistique ou de leur handicap éventuel).
Ils doivent cependant avoir 18 ans au démarrage du projet et l’avoir terminé avant 31 ans.
Il faut également résider légalement dans un des 27 États membres de l’Union européenne (Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède) ou pays tiers participant au programme (Islande, Liechtenstein, Turquie), République de Macédoine du Nord) ou encore dans un pays tiers non associé au programme mais faisant partir de l’AELE, l’association européenne de libre échange (la Norvège) ou dans un pays tiers voisin (Albanie, Bosnie Herzégovine, Kosovo, Monténégro, Fédération de Russie, Serbie, Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Géorgie, Moldavie, Ukraine, Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Maroc, Palestine, Syrie, Tunisie).
Les jeunes candidats doivent, par ailleurs, adhérer aux principes de la Charte du corps européen de solidarité qui est axée sur le respect la dignité humaine et la promotion d’une société équitable.
Tableau récapitulatif des programmes de mobilité du CES
NOMBRE DE PARTICIPANT
DURÉE
BELGIQUE
UE
SOUTIEN FINANCIER
SALAIRE/ INDEMNITÉS JOURNALIÈRES
ACTIVITÉS DE SOLIDARITÉ
Volontariat individuel
1
2 à 12 mois
oui
oui (+ pays voisins partenaires)
oui
non
Volontariat individuel Jeunes défavorisés
1
2 semaines à 2 mois
oui
oui (+ pays voisins partenaires)
oui
non
Volontariat en équipe
10 à 40
2 semaines à 2 mois
non
oui (+ pays voisins partenaires)
oui
non
Volontariat en équipe dans des domaines hautement prioritaires
5 à 40
oui
oui (+ pays voisins partenaires)
oui
non
Projet de solidarité
min. 5
2 à 12 mois (temps partiel)
oui
non
soutien forfaitaire
non
ACTIVITÉS DE SOLIDARITÉ DANS LE DOMAINE DE L’AIDE HUMANITAIRE
Tu es demandeur d’emploi et envisages de travailler en Europe ? Participe à la journée de recrutement dédiée aux opportunités professionnelles en Europe offertes par Actiris.
Au programme
Des partenaires du réseau EURES et des employeurs issus de plusieurs pays européens (Malte, Pays-Bas, République tchèque, Luxembourg…), actifs dans divers secteurs
Différents organismes informant/facilitant la mobilité professionnelle à l’international
Des Pôles Formation-Emploi
Séances d’informations thématiques données par des spécialistes en recrutement à l’international d’Actiris.
Quand
Mercredi 29 novembre 2023 de 10h à 18h.
Localisation
Area 42 – Rue des Palais, 46 1030 Schaerbeek
Public cible
Bruxellois chercheurs d’emploi ou non, quelque soit leur niveau d’études, leurs connaissances linguistiques, leur âge, leur désir de rester proche de chez eux ou leur envie de partir un pu plus loin.
Ce salon, dédié à la mobilité internationale, s’adresse aux 12-25 ans, est organisé par le Centre J.
Une vingtaine d’exposants dont notre centre Infor Jeunes seront présents pour te présenter leurs différentes formules de séjours (stages durant les congés scolaires, une année scolaire à l’étranger, partir au pair, volontariat, visa vacances-travail, etc.).
Quand
16 septembre 2023 de 10h à 16h30
Localisation
Théâtre de Liège – Place du Vingt-Août, 16 à 4000 Liège
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