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Chantiers internationaux

Participer à un chantier international en Belgique ou à l’étranger est une autre façon de voyager et de faire des découvertes, tant au niveau de la réalisation d’un projet manuel, social ou culturel qu’au niveau humain.

Vous avez envie d’originalité pour vos vacances d’été ? Rencontrer et partager d’autres modes de vie ? Envie de contribuer bénévolement à la réalisation d’un projet commun ou de préserver le patrimoine ?

On y va tout seul, à 2 ou plus. En général aucune compétence n’est requise au départ, il faut être motivé et curieux. Se débrouiller en anglais est un plus. Même si le chantier se déroule dans un pays « francisé » ou francophone, il se peut que votre groupe soit composé de différentes nationalités, et là il faut se débrouiller.

Une expérience en animation peut aussi être utile pour certains chantiers plus volontaristes.

Financièrement, vous intervenez sur les frais réels (transports, nourriture, etc.) et quelques frais de participation servant à couvrir les formations préalables, les frais d’organisation, etc.  Comme le logement et la nourriture sont souvent partagés, cela adoucit votre budget. Certaines associations prévoient des activités collectives visant à trouver des moyens complémentaires. Un encadrement, avant et pendant le chantier, est toujours prévu.

Chaque organisation ayant ses particularités, prenez le temps de visiter leurs sites et de les contacter.

Organismes à Bruxelles ou en Wallonie proposant des chantiers internationaux

Archeolo J
Rue Fer, 35
5000 Namur
081/61.10.73
info@archeolo-j.be
http://www.archeolo-j.be
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A partir de 10 ans, ouvert aussi aux participants de l’étranger
Chantiers d’été en Belgique de fouilles archéologiques visant à l’étude, la protection et la mise en valeur du patrimoine archéologique et architectural romain et médiéval, week-ends thématiques, baptêmes d’archéologie pour les écoles ainsi que diverses animations dans les écoles.

ASMAE
Place des Carabiniers, 5
1030 Schaerbeek
02/742.03.01
info@asmae.org
http://www.asmae.org
Instagram
Pour les 18-30 ans
Asmae organise des projets de rencontre interculturelle au Togo, au Sénégal, au Maroc et en Égypte, entre des jeunes volontaires résidents en Belgique et des jeunes du Sud, membres des associations locales avec lesquelles nous travaillons étroitement. Ces séjours immersifs (durée à discuter) sont englobés dans une démarche plus large visant à sensibiliser les jeunes à d’autres réalités sociales, économiques, culturelles et politiques. Les jeunes participent, en amont de la période d’immersion au Sud, à des formations d’éducation citoyenne visant à mieux appréhender les enjeux liés aux projets de solidarité Nord-Sud que nous mettons en place. Nos thématiques sont l’agroécologie, le genre, les inégalités Nous-Sud et l’engagement des jeunes en tant qu’acteur de changement.

Compagnons bâtisseurs
Place du Roi Albert, 9
6900 Marche-en-Famenne
Rue du Beau-Mur, 48
4030 Liège
084/31.44.13
dg@compagnonsbatisseurs.becommunication@compagnonsbatisseurs.be
http://www.compagnonsbatisseurs.be
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Instagram
YouTube
A partir de 14 ans
Chantiers internationaux durant toute l’année en Europe (< 18 ans) et dans le Monde entier (> 18 ans) destinés à des jeunes voulant s’investir volontairement sur des projets environnementaux, manuels, de rénovation, mais aussi des projets sociaux, tels que l’animation, ou des projets culturels. Un des objectifs est l’engagement des jeunes sur des projets sociétaux ou d’intérêt collectif, à la protection de l’environnement et du patrimoine.

DBA – Défi Belgique Afrique
Rue Emile Féron, 153
1060 Saint-Gilles
02/346.12.29
info@ongdba.org
http://www.ongdba.org
Pour les jeunes de l’enseignement secondaire supérieur (4e– 7e secondaire)
Projet Do It with Africa : 8 jours de formation durant l’année et 2-3 semaines d’immersion en Afrique avec des correspondant.e.s locaux.ales.
Projet Do It Belgique : 4 jours de formation durant l’année et 8 jours d’immersion itinérante en Belgique.
Move with Africa : projet scolaire pour élèves et professeur.e.s du 3e degré.

JAVVA – Jeunes Actifs.ves dans le Volontariat et les Voyages Alternatifs
Rue Emile Féron, 153
1060 Saint-Gilles
02/478.29.19
hosting@javva.org  (en Belgique) –  sending@javva.org (à l’étranger)
http://www.javva.org
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Il s’agit de projets de courte durée (2 à 3 semaines) s’adressant à des volontaires à partir de 18 ans (certains chantiers en Europe sont ouverts aux jeunes de 14 à 17 ans). Aucune compétence ou qualification professionnelle n’est requise pour être un participant.
Un groupe de 10 à 15 personnes du monde entier se mettant au service d’une association à l’étranger ou en Belgique dans le cadre d’un projet à vocation sociale, environnementale, culturelle ou artistique. En échange de leur travail, les volontaires sont logés et nourris par la communauté locale d’accueil. Il est possible de participer gratuitement à des projets en Europe, financés par l’UE, avec remboursement des frais de voyage et autres.

Maison des Jeunes Le bazar
Avenue Jean Volders, 12
1060 Saint-Gilles
02/539.38.31
asbl@mjlebazar.be
www.mjlebazar.be
Pour les 12-26 ans
Camp international de 2 semaines autour d’une thématique citoyenne : projet humanitaire, environnement, échanges entre jeunes, aides aux associations.

Quinoa
Rue d’Édimbourg, 26
1050 Ixelles
02/893.08.70
info@quinoa.be
http://www.quinoa.be
A partir de 18 ans ou à partir de 3 ans pour les projets famille
Le projet international propose à toute personne de s’impliquer bénévolement dans des actions solidaires mises en place par des associations partenaires de Quinoa, en Amérique latine, en Afrique et en Asie. C’est un projet de rencontre interculturelle qui comprend le séjour sur place, une phase préparatoire de plusieurs mois, ainsi qu’un moment de débriefing – évaluation – retrouvailles au retour.
Il s’agit d’un projet collectif : les départs se font en groupe de 6 à 12 participants, encadrés par deux responsables.

SCI Projets internationaux
Rue Van Elewyck, 35
1050 Ixelles
02/649.07.38
gevenevieve@scibelgium.be
http://www.scibelgium.be
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Le SCI-Projets Internationaux est la branche belge du Service Civil International, un mouvement pacifiste international. Le SCI propose des projets de volontariat en Belgique et à l’étranger de 2 semaines à 1 an à partir de 18 ans (quelques projets sont accessibles dès 16 ans). Entre 5 et 20 volontaires internationaux se rejoignent pour s’impliquer dans les activités d’une association locale afin d’y vivre une expérience collective, solidaire et interculturelle.
Thématiques variées : protection de l’environnement, animation avec des enfants/jeunes, rénovation et construction, mise en place de festivals alternatifs, vie communautaire, sensibilisation sur le thème des droits humains, des migrant·es, de l’égalité des genres…
Il y a une formation avant le départ et un week-end de retrouvailles et de débriefing au retour.

Solidarcité
Avenue de Jette, 225
1090 Jette
0472/21.58.50
coordination@solidarcite.be
https://www.solidarcite.be
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Organisation de jeunesse qui propose, aux jeunes de 16-25 ans sur base d’un volontariat de 6 ou 9 mois, d’accomplir une Année Citoyenne Solidarcité autour notamment de chantiers en Belgique et à l’étranger : des chantiers manuels (restauration légère de bâtiment, peinture…), des chantiers d’animation avec des enfants, des adultes, des personnes âgées, des personnes fragilisées, des chantiers écologiques (travaux d’entretien de réserves naturelles…), des chantiers d’aide aux plus démunis (distribution de repas…), des chantiers d’organisation d’événements (participation à des fêtes de quartier, organisation de forums, de festivals) et, de temps en temps selon les opportunités, des chantiers à l’étranger (échanges multiculturels).

Organisme de soutien pour les séjours à l’étranger et l’introduction de projets d’échanges de jeunes ou de mobilité internationale

BIJ – Bureau International Jeunesse
Rue du Commerce, 18
1000 Bruxelles
02/219.09.06
bij@cfwb.be
https://www.lebij.be
Service de Wallonie-Bruxelles International cogéré par la FWB, mis en place pour gérer les programmes internationaux destinés aux jeunes francophones de Bruxelles et Wallonie en dehors du cadre scolaire. Plus de 5 000 jeunes adultes bénéficient de ces financements chaque année.

Références françaises

Emmaüs Europe
Avenue de la Résistance, 47
93104 Montreuil Cedex
0033.1.41.58.25.70
emmanuel.rabourdin@emmaus-europe.org
https://emmaus-europe.org/chantiers/
A partir de 18 ans en France, ou en Europe
S’engager dans un chantier d’été permet de contribuer aux actions d’Emmaüs en partageant le quotidien d’un groupe. C’est agir concrètement pour lutter contre la pauvreté et ses causes. C’est aussi un moment de rencontre et de convivialité, une expérience alternative partagée avec des personnes venues de tous horizons et des jeunes du monde entier.

Opus
Quai Lices Berthelot, 4
84800 L’Isle sur la Sorgue
0033.4.90.85.51.15
contact@opus.cpie84.org
https://opus.cpie84.org/fr/
A partir de 16 ans en France, à partir de 18 ans à l’étranger
Projets de restauration du patrimoine bâti et naturel en France et à l’étranger.

Rempart – Union des associations pour la réhabilitation et l’entretien des monuments et du patrimoine artistique
Rue des Guillemites, 1
75004 Paris
0033.1.42.71.96.55
contact@rempart.com
https://www.rempart.com
A partir de 8 ans pour certains chantiers ou à partir de 18 ans.
Le principal réseau d’associations françaises qui organisent des chantiers de sauvegarde du patrimoine en France durant les vacances de pâques et été et à l’étranger en été. La durée du séjour est d’au minimum 1 semaine.

MAJ 2025

Job étudiant à l’étranger

Vous avez envie de récolter des fruits en Provence, de travailler comme animateur ou animatrice dans un centre de vacances en Martinique, etc. ? Faire un job à l’étranger durant les vacances peut être une bonne expérience personnelle et professionnelle. Le combo idéal ? S’offrir un voyage tout en travaillant ! Oui, mais comme toujours, mieux vaut être bien préparé. Il faut évidemment définir le secteur dans lequel vous souhaitez travailler avant de vous lancer à la recherche du job qui vous permettra d’allier expérience professionnelle, personnelle, salaire et dépaysement.

Cadre légal, impôts et allocations familiales

L’étudiant qui part effectuer un job étudiant à l’étranger est soumis à la législation du pays dans lequel il exerce son job. Ainsi, un étudiant belge qui travaille comme animateur en France devra se référer au droit du travail français ainsi qu’à la réglementation française en matière d’âge minimum, de sécurité sociale et d’impôts. Les jours prestés à l’étranger n’auront par contre pas d’incidence sur son quota de 650 heures en Belgique. Ainsi, en rentrant en Belgique après son job en France, notre étudiant belge retrouvera au compteur de son contingent annuel le même nombre d’heures dont il disposait avant de partir en France.

Attention, si l’étudiant travaille pour un employeur belge tout en prestant ses heures de travail à l’étranger, c’est le cadre légal belge qui s’applique et les heures de travail effectuées seront bien déduites de son contingent annuel.

Étant donné que l’étudiant conserve sa résidence principale en Belgique (il reste domicilié en Belgique), il sera soumis à l’impôt des personnes physiques belge. Dans sa déclaration annuelle de ses revenus, il devra déclarer tous ses revenus, ceux perçus en Belgique et ceux en provenance de l’étranger. Il est devenu rare que les revenus étrangers soient taxés deux fois, par la Belgique et par le pays étranger. La majorité des pays ont en effet conclu des accords bilatéraux pour éviter une double imposition. Des informations à ce sujet peuvent être obtenues via le Call center mis à disposition par le SPF Finances.

Quant aux allocations familiales, avant 18 ans, les étudiants bénéficient d’un droit inconditionnel. Après 18 ans, a priori, l’étudiant perd son droit aux allocations familiales lorsqu’il part travailler à l’étranger. Il existe cependant quelques dérogations selon le projet (séjours de moins de 2 mois à l’étranger par exemple ou encore partir dans le cadre du Corps européen de solidarité durant son stage d’insertion professionnelle…) Renseignez-vous auprès de votre caisse d’allocations familiales.

Comment se préparer ?

Évaluez vos compétences par rapport à vos études, vos centres d’intérêts, vos connaissances linguistiques et informatiques. En Belgique, un avantage non négligeable est que beaucoup de personnes ont une connaissance de 2 langues : le français et le néerlandais ou le français et l’anglais. Pour travailler à l’étranger, le mieux est, évidemment, de maîtriser la langue du pays. Ensuite, définissez les grands secteurs et le pays dans lequel vous souhaitez chercher du travail.

Quels sont les secteurs qui engagent ?

  • L’agriculture est un secteur qui demande beaucoup de main-d’œuvre. Les fermes et coopératives proposent du travail saisonnier. Vous pouvez prospecter sur le terrain, directement dans les exploitations agricoles, sur les marchés, auprès de l’ambassade du pays qui vous intéresse ou sur internet.
  • Le tourisme est un secteur pourvoyeur d’emplois partout dans le monde. Les hôtels, campings, centres de vacances, restaurants, cafés, parcs d’attractions… ont toujours besoin de personnel, surtout aux périodes de vacances. Ici, avoir le sens de l’accueil, du dialogue et du service est indispensable. Beaucoup de jobs d’animateurs sont offerts, avoir un diplôme d’animateur est donc un avantage. De même, posséder un brevet de secouriste est utile. Connaître la langue du pays est évidemment indispensable. Vous pouvez trouver de nombreuses adresses dans les offices de tourisme des pays concernés.
  • La vente offre de nombreux postes : des boutiques qui doivent remplacer leur personnel en vacances aux festivals qui engagent ponctuellement en passant par la vente de glaces sur la plage, la palette est vaste.
  • Dans le secteur tertiaire, les sociétés d’assurance qui proposent des contrats d’assistance engagent souvent du personnel supplémentaire durant les vacances pour coordonner les opérations entre l’assuré en difficulté et les différents intervenants.

En pratique

Il faudra envoyer de nombreux CV, bien avant les vacances. Cherchez aussi sur internet. Vous pouvez envoyer votre CV par e-mail ou, sur certains sites, l’annexer directement dans un formulaire en ligne. Il existe aussi des guides en vente en librairie contenant de nombreuses adresses utiles.

N’oubliez pas que pour tout travail quel que soit le pays dans lequel il est presté, vous devez conclure un contrat écrit. Cela vous permettra notamment d’être certain de recevoir un salaire et d’être couvert par l’assurance de l’employeur en cas d’accident.

En dehors de l’Espace économique européen, si vous voulez exercer une activité professionnelle à l’étranger, il faudra obtenir un permis de travail. Si vous allez travailler dans un pays de l’Espace économique européen, votre carte d’identité suffit, mais ailleurs il faudra un passeport et un visa. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays concerné.

En ce qui concerne le remboursement des soins de santé, vous devrez vous procurer la carte européenne d’assurance maladie (CEAM) auprès de votre mutuelle d’origine en Belgique. Cette carte est valable dans tous les pays membres de l’union européenne (exceptée la partie turque de la Chypre), ainsi que la Suisse, l’Islande, la Norvège, la Macédoine du nord, le Liechtenstein, le Royaume-Uni et l’Australie.

Vous pouvez également obtenir la carte WAC (World Assistance Card) ou MAC (Medical Assistance Card) auprès de votre mutuelle ou de l’asbl MUTAS. Ce groupement de plusieurs mutualités apporte une assistance médicale aux affiliés des mutualités membres qui partent en vacances à l’étranger.

Pensez à votre santé avant de partir, aux vaccins éventuels et emportez des préservatifs fiables, la contraception est indispensable et le sida est un problème mondial !

Vous trouverez également sur notre site dédié à la  Mobilité des Jeunes des pistes et astuces, des conseils, des organismes, des informations … pouvant vous aider à mettre en place votre projet !

Voir aussi :

MAJ 2025

Elèves de supérieur : Ta session d’examens de janvier ne s’est pas déroulée comme prévu ? Voici comment rebondir !

Elèves de supérieur : Ta session d’examens de janvier ne s’est pas déroulée comme prévu ? Voici comment rebondir !

Etudiante qui étudie

Tu as reçu tes résultats d’examens de supérieur et tu fais face à un ou plusieurs échecs ? Nous savons que ce n’est pas facile, et pourtant, rater c’est OK ! Nous te donnons ci-dessous des conseils pour questionner les causes de cet échec et rebondir après cela.


1/ Persévère
Trouver son rythme et sa méthode de travail, ce n’est pas une mince affaire !

Cela nécessite parfois des essais-erreurs. Il est nécessaire de questionner les causes de ton échec : peut-être que ta méthode de travail nécessiterait d’être revue ? Tu t’y es pris trop tard ? Tu as eu des difficultés à gérer ton stress ? Trop de fatigue accumulée à cause de la guindaille ? Manque de motivation ?

L’adaptation au rythme de vie des études supérieures peut être vécue difficilement. Et pour cause, changement d’établissement scolaire, nouvelles matières, grande autonomie, pour certain∙es emménagement dans un kot, sont autant de changements non-négligeables qui demandent une énergie que tu ne peux déployer ailleurs.
Pour t’aider à comprendre ta cote, sache que tu as le droit de consulter tes copies d’examens, afin de comprendre ce qui était attendu de toi.
Enfin, sache que les services d’aide à la réussite sont à ta disposition au sein de ton établissement d’études.


Si tu es en première année de bachelier, tu as la possibilité de passer tes examens de janvier en juin et en août si nécessaire, car tu disposes de trois chances.


2/ Dans quels cas es-tu en droit d’introduire un recours ?
Tu peux introduire un recours contre toute forme d’erreur matérielle (par exemple si le professeur n’a pas compté une question lors du calcul de sa cotation), ou toute irrégularité survenue dans le déroulement général de l’examen (par exemple si tu as eu moins de temps que ce qui avait été annoncé pour répondre à l’examen).


Attention toutefois aux délais ! Tu as trois jours ouvrables (tous les jours sauf les samedis-dimanches-jours fériés) après la notification des résultats de délibération, ou la consultation de ta copie d’examen contesté. Pour connaitre les modalités, consulte le règlement des études de ton établissement.


Après la session de janvier, seul un recours interne est possible.
Pour en savoir plus, n’hésite pas à consulter notre page : https://www.jeminforme.be/recours-dans-lenseignement-superieur/.


3/ Dans quels cas peux-tu demander un allègement ?
L’allègement en cours d’année n’est possible que pour des motifs sociaux ou médicaux graves. Le fait d’avoir échoué à la session de janvier n’est pas un motif suffisant pour demander un allègement.


4/ Est-il possible de se réorienter en cours d’année ?
Si tu es en BA1, il est possible de te réorienter jusqu’au 15 février sans devoir payer de frais d’inscription supplémentaires. Il est nécessaire d’introduire une demande de réorientation motivée, et celle-ci sera soumise à l’approbation du jury. En pratique, c’est rarement refusé.
A partir de la BA2, la réorientation n’est possible que jusqu’au 31 octobre, dans le respect des règles de finançabilité (https://www.jeminforme.be/etes-vous-un-etudiant-financable/).


5/ Que faire si tu décides d’arrêter tes études, temporairement ou définitivement ?
Tu peux aussi prendre la décision d’arrêter tes études, soit pour entrer dans la vie active, soit pour reprendre des études à la rentrée suivante. En janvier, il n’est pas possible de se faire rembourser son minerval.


Si tu es boursier∙ère et que tu arrêtes tes études après le 1er janvier, 50% du montant de ton allocation d’études pourrait t’être réclamé.


Si tu souhaites travailler, pense à t’inscrire comme demandeur∙euse d’emploi. Cela te permettra de commencer ton stage d’insertion professionnelle (https://www.jeminforme.be/stage-d-insertion-professionnelle/ ) qui est une condition nécessaire à l’octroi des allocations d’insertion (voir conditions sur la page Allocations d’insertion professionnelle : https://www.jeminforme.be/allocations-d-insertion-professionnelle/).

Ainsi, tu peux ainsi entrer dans la vie active, en concluant un contrat de travail ou en te lançant comme indépendant.


Tu peux également décider de prendre un temps de pause pour réfléchir à ton avenir, et profiter de ce moment pour prendre des cours de langue, partir à l’étranger ou entreprendre un projet de bénévolat ! Plus d’infos sur notre site https://www.mobilitedesjeunes.be/.


Tu as des questions ? N’hésite pas à nous les envoyer à inforjeunes@jeminforme.be, ou à venir à nos permanences !