image_pdfimage_print

Les internats

Les internats, une solution conviviale de logements étudiants à des prix attractifs.
Ces établissements accueillent, pour la majorité en semaine uniquement, des élèves ou étudiants de la 3ème maternelle, du primaire, du secondaire de l’enseignement ordinaire ou spécialisé et/ou du supérieur.

Tarifs annuels pour l’année scolaire 2024-2025 (en attente des tarifs annuels de l’année 2025-2026) :
entre 2.462,49€ et 2.848,68€ pour les élèves de l’enseignement ordinaire ;
entre 2.208,64€ et 2.594,58€ pour les élèves de l’enseignement spécialisé ;
entre 2.848,68€ et 3.832,16€ pour les élèves de l’enseignement supérieur.

Une réduction de 5% est accordée aux frères et sœurs inscrits dans un même internat.

Bruxelles

Internat annexé à l’Athénée Royal Gatti de Gamond
Rue Léopold de Swaef, 27
1070 Anderlecht
Tél. : 02/520.13.00 – 0472/33.11.72
administrateur@argattidegamond.be
https://argattidegamond.be/internat
Pour garçons uniquement, étudiants du primaire, secondaire
Fermé le week-end (ouvert le dimanche soir pour les internes qui résident en province ou à l’étranger).
Chambres individuelles
Accessible également aux élèves de l’enseignement spécialisé (intégration et inclusion)

Internat autonome de Bruxelles-Heysel Strombeek-Bever de la Communauté Française
Chaussée Romaine, 552
Bruxelles (1853  Strombeek-Bever)
Tél. : 02/460.72.01
direction@iacfbruxelles.be
http://www.iacfbruxelles.be
Facebook
Pour filles et garçons, étudiant(e)s du primaire, secondaire
Fermé le week-end
Chambres individuelles et collectives

Internat autonome de la Communauté Française de Forest – Maison des étudiant.e.s de Forest (IACF)
Rue de Bourgogne, 48
1190 Forest
Tél. : 02/349.62.81 – 02/345.64.20
info@mde-forest.be
www.mde-forest.be
Pour filles et garçons, étudiant(e)s du supérieur
Fermé les congés scolaires et le week-end (rentrée possible  le dimanche dès 19h)
Chambres individuelles

Internat autonome Don Bosco Ganshoren
Rue Lowet, 12
1083 Ganshoren
Tél. : 0472/54.29.47 (Direction) – 0472/67.54.06 (Secrétariat)
donboscoganshoren@gmail.com
www.donboscoganshoren.be
Pour filles et garçons du primaire et du secondaire
Fermé les vacances scolaires et le week-end
Chambres individuelles
Tarif : internat non subsidié, coût différent

Pour filles et garçons, étudiant(e)s du supérieur
0497/55.58.16
kotbosco@gmail.com
Ouvert 24h/24 durant l’année
Chambres individuelles – un étage filles et un étage garçons – cuisine commune

Internat autonome de la Communauté Française d’Ixelles – La Maison des étudiantes
Rue de l’Abbaye, 26a
1050 Ixelles
Tél. : 02/649.50.09
direction@iacfabbaye.be
http://www.iacfabbaye.be
Facebook
Pour filles uniquement, étudiantes du supérieur (Priorité au non-universitaire)
Fermé le week-end, rentrée possible le dimanche soir
Chambres individuelles et chambres doubles

Internat autonome du CERIA
Avenue Jean de la Hoese, 80
1080 Molenbeek-Saint-Jean
Tél. : 02/412.58.00
sec.internat@spfb.edu.brussels
https://www.internat-bruxelles.be
Pour filles uniquement, étudiantes du secondaire et du supérieur (Priorité aux écoles du campus du CERIA)
Fermé le week-end, rentrée possible le dimanche
Chambres individuelles et collectives

Internat autonome de la Communauté Française d’Uccle – Maison des étudiants
Avenue de Hamoir, 24
1180 Uccle
Tél. : 02/373.13.70 -0470/55.18.82
direction@mde-uccle.be
https://mde-uccle.be
Pour filles et garçons, étudiant(e)s du supérieur (Priorité aux études organisées par le Wallonie-Bruxelles Enseignement)
Fermé le week-end, rentrée possible le dimanche soir
Chambres individuelles et collectives de 2 ou 3

Internat autonome de la Communauté Française d’Uccle – La Maison des étudiantes
Square De Fré, 2
1180  Uccle
Tél. : 02/374.59.43 – 0473/94.99.10
direction@mdedefre.beeducatrices@mdedefre.be
http://www.iacfdefre.be
Pour filles uniquement, étudiantes du supérieur
Fermé le week-end, rentrée possible le dimanche soir
Chambres individuelles

Internat annexé à l’Athénée Royal Uccle 1
Avenue du Vert Chasseur, 66
1180 Uccle
Tél. : 02/374.51.07
internat@aru1.be
http://www.aru1.be
Pour filles uniquement, étudiantes du primaire et du secondaire
Fermé le week-end, durant les jours fériés et les vacances scolaires
Chambres individuelles et collectives

Internat annexé à l’Athénée Royal Jean Absil
Avenue du Chant d’oiseau, 45
1150 Woluwé-Saint-Pierre
Tél. : 02/771.09.05
internat@absil.euadministrateur@absil.eu
www.absil.eu/categorie/l-internat
Pour garçons uniquement, étudiants du primaire et secondaire
Fermé le week-end, jours fériés et vacances scolaires
Chambres individuelles (secondaire) et collectives (primaire)

Internat annexé à l’Athénée Royal Crommelynck Woluwé-Saint-Pierre
Rue au Bois, 78
1150 Woluwe-Saint-Pierre
Tél. : 02/770.99.50 – 0478/24.69.68
Internat@arcro.be  – jasmina.marinx@arcro.be
https://acrommelynck.online/internat/
Pour filles uniquement, étudiantes du primaire et secondaire
Fermé le week-end
Chambres individuelles et collectives

Hors Bruxelles

Si vous désirez connaître les adresses francophones hors Bruxelles, consultez le site des internats de la Fédération-Wallonie-Bruxelles : http://www.internats.be/internats

MAJ 2025

Student Job & Training Day 2025

Student Job & Training Day 2025

Salon Student Job & Training Day 2025

Le mercredi 23 avril 2025 se tiendra notre Student Job & Training Day entre 10h et 16h à l’Athénée Fernand Blum situé avenue Ernest Renan, 12 à Schaerbeek. Cette nouvelle édition organisée, en collaboration avec la commune de Schaerbeek, sera dédiée aux étudiants dès 15 ans, demandeurs d’emploi et futurs stagiaires.

Au programme

Tout au long de la journée, des ateliers sont organisés par nos soins et nos partenaires pour faire comprendre le monde du travail aux étudiants du secondaire, du supérieur, aux futurs stagiaires ou aux demandeurs d’emploi. Plusieurs ateliers sont proposés :

  • L’atelier rédaction se penche sur l’élaboration d’un CV et d’une lettre de motivation ;
  • L’atelier relooking développe l’image de soit et la présentation pour un futur employeur ;
  • L’atelier construcity et les lunettes de réalité virtuelle ;
  • L’atelier langues permet de tester son niveau d’anglais.

Les visiteurs auront à leur disposition un espace numérique pour la rédaction de CV ou de lettre de motivation et l’impression du « student@work » (attestation sur le nombre d’heures par le jobiste sous cotisations sociales réduites).

En plus de ces ateliers, 6 conférences sont organisées :

  • 10h à 11h : « Travailler pendant les études » par Infor Jeunes
  • 11h à 12h : « Rendez-vous avec ton métier » par des intervenants de plusieurs secteurs
  • 13h à 13h30 : « Étudiants, toutes les clefs pour entreprendre ! » par le GEL Schaerbeek
  • 13h30 à 14h30 : « Rendez-vous avec ton métier » par des intervenants de plusieurs secteurs
  • 14h30 à 15h30 : « Mentorat professionnel » par Duo for a job
  • 15h30 à 16h : « Étudiants, toutes les clefs pour entreprendre ! » par le GEL Schaerbeek

Après ces découvertes, les participants pourront rencontrer leurs potentiels futurs employeurs ou pourvoyeurs de stage ou centres de formation.

Le point sur le job étudiant.

Le point sur le job étudiant.

Le travail étudiant est une source de revenus essentielle, notamment en période de crise. Il permet aux jeunes de financer leurs études, leur logement ou d’aider leur famille. Le contrat d’occupation étudiant, qui peut être signé dès 15 ans, est un contrat de travail spécifique avec des dispositions particulières.

Aspects à vérifier :

  • Un contrat écrit est obligatoire pour éviter les abus.
  • Attention aux arnaques (stages non rémunérés, frais abusifs, travail sans contrat).

Rémunération :

Le salaire minimum varie en fonction de l’âge, allant de 8,59€/h (16 ans) à 12,82€/h (21 ans et plus).

Impact sur les allocations familiales :

  • Avant 18 ans : Aucun impact.
  • Après 18 ans : L’activité reste compatible sous certaines conditions (max. 240h/trimestre à Bruxelles et 650h/an en Wallonie).
  • Après la fin des études : Des règles spécifiques s’appliquent en fonction du type de contrat et de l’inscription comme demandeur d’emploi.

Cotisations sociales (ONSS) :

  • L’étudiant bénéficie de cotisations réduites (2,71%) sur un quota de 650 heures/an.
  • Dépassement = application des cotisations sociales ordinaires (13,07%).
  • Vérification possible sur student@work.
  • Horeca : Possibilité de travailler 50 jours supplémentaires sous un statut spécifique.

Fiscalité :

Pour rester fiscalement à charge des parents, l’étudiant doit :

  • Avoir la même résidence principale qu’eux.
  • Ne pas dépasser un certain revenu annuel (variable selon la situation familiale).
  • Ne pas être salarié dans l’entreprise de ses parents sous certaines conditions.

En résumé, le travail étudiant est encadré pour éviter les abus, permettre des revenus complémentaires tout en conservant les avantages sociaux (allocations familiales, exonérations fiscales).

Pour un résumé complet de la législation 👉 Clique ici !

Qui peut travailler sous contrat d’occupation étudiant ?

Qu’est-ce qu’un étudiant ?

La notion d’étudiant n’est pas définie dans la loi. Traditionnellement, un étudiant est un jeune qui suit un enseignement de plein exercice (dans le secondaire ou le supérieur). Le terme d’étudiant peut toutefois aussi désigner les jeunes suivant des études à temps partiel, sous certaines conditions.

étudiant qui peut conclure un contrat d’occupation d’étudiant

Un jeune à partir de 15 ans, s’il a suivi au moins deux années de l’enseignement secondaire et qui n’est donc plus en obligation scolaire à temps plein, s’il suit :

  • un enseignement de plein exercice
    ou
  • un enseignement à temps partiel (CEFA, apprentissage (EFP, IFAPME)) à condition que :
    – l’étudiant ne soit pas occupé sous contrat d’occupation étudiant lorsqu’il suit sa formation théorique ou qu’il est présent sur son lieu de formation de pratique professionnelle ;
    – il ne soit pas occupé sous contrat d’occupation étudiant auprès de l’employeur chez qui il effectue sa formation de pratique professionnelle (excepté pour les mois de juillet et d’août) ;
    – il ne bénéficie pas d’allocations de chômage ou d’insertion.

Attention : Les étudiants mineurs qui suivent un enseignement à temps partiel, mais qui ne sont ni liés par un contrat de travail ni par un contrat de stage peuvent conclure un contrat d’occupation étudiant, uniquement pendant les périodes de vacances scolaires.

Les étudiants qui ne sont pas inscrits dans une école en Belgique, qui suivent une année d’études à l’étranger, dont la résidence principale est toujours en Belgique et qui bénéficient d’allocations familiales peuvent également conclure un « contrat d’occupation étudiant ».

Cas particulier des étudiants en promotion sociale

La question de savoir si un étudiant en promotion sociale peut conclure un contrat d’occupation d’étudiant est très compliquée. La situation est à étudier au cas par cas.

La loi prévoit que les étudiants inscrits à des cours du soir ou qui suivent un enseignement à horaire réduit ne peuvent pas conclure de contrat d’occupation étudiant. Elle dispose également que les études doivent être l’activité principale, et le travail accessoire.

La loi n’exclut pas spécifiquement l’enseignement de promotion sociale mais uniquement, les enseignements suivis en cours du soir ou à horaire réduit. Elle précise également qu’il faut que les études soient l’activité principale, et le travail accessoire. On peut donc logiquement en déduire que si vous suivez des cours en horaire temps plein de jour, vous pouvez conclure un contrat d’occupation étudiant.

Si par contre vous suivez des cours de soir ou à horaire réduit, il est probable que vous ne puissiez pas conclure un contrat d’occupation d’étudiant. Mais comme il y a doute, il conviendrait de contacter le Contrôle des lois sociales du SPF Emploi qui est chargé d’interpréter la loi dans ce domaine. Vous pouvez le contacter par téléphone du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 16h30 au 02 235 55 60 OU par courriel à info.cls@emploi.belgique.be

L’étudiant qui ne peut pas conclure un contrat d’occupation d’étudiant est

  • L’étudiant de moins de 15 ans ;
  • L’étudiant qui travaille depuis plus de 12 mois de manière ininterrompue chez le même employeur. Après la période de 12 mois ininterrompu, le contrat d’occupation étudiant devient un contrat de travail ordinaire ;
  • L’étudiant inscrit uniquement dans un cours du soir ou qui suit un enseignement à horaire réduit. Attention, en cas de doute, il ne faut pas hésiter à solliciter l’avis du Contrôle des lois sociales ;
  • L’étudiant qui effectue des travaux non rémunérés dans une entreprise au cours d’un stage, faisant partie de son programme d’études. L’interdiction ne s’applique qu’à la période de stage concernée dans l’entreprise. En dehors de cette période de stage, l’étudiant peut travailler pour cette même entreprise sous contrat étudiant ;
  • L’étudiant ayant terminé ses études au mois de juin. Selon le SPF Emploi, cet étudiant ne peut plus travailler sous contrat étudiant l’été suivant la fin de ses études. Sachez toutefois que les caisses d’allocations familiales (FAMIRIS, FAMIWAL) ainsi que l’ONEM seraient plus souples. Ils semblent accepter qu’un étudiant ayant terminé ses études en juin et travaillant en juillet, août et septembre sous contrat d’occupation étudiant bénéficie de ses allocations familiales et de l’assimilation de sa période de travail sous contrat d’occupation étudiant au stage d’insertion professionnelle.

Un jeune aux études ou en formation ne pouvant pas travailler sous contrat d’occupation étudiant peut conclure un contrat de travail ordinaire.

Voir aussi :

MAJ 2025

Période d’essai et test de recrutement

La période d’essai n’existe plus pour les contrats ordinaires de travail depuis 2014. Le contrat d’occupation d’étudiant et le contrat de travail intérimaire continuent toutefois à bénéficier d’une période d’essai. Le contrat de travail étudiant ne doit pas prévoir explicitement de période d’essai. Celle-ci est automatiquement prestée par l’étudiant qu’elle soit mentionnée ou non dans le contrat de travail.

La période d’essai existe pour évaluer la qualité de votre travail. Elle permet à l’employeur de juger si vous convenez pour le job proposé. Cette période d’essai doit être rémunérée puisqu’elle s’effectue dans le cadre du contrat de travail.

Durée de l’essai

« Les trois premiers jours de travail sont considérés comme période d’essai. Jusqu’à l’expiration de cette période, chacune des parties peut mettre fin au contrat, sans préavis ni indemnité. Lorsqu’un étudiant est occupé dans la même fonction, par le biais de contrats de travail étudiants successifs, les périodes d’essai successives sont interdites » (article 127 de la Loi du 3 juillet 1978 relative aux contrats de travail, Maj le 29/12/2023).

La durée de la période d’essai s’élève automatiquement à 3 jours de travail, qu’elle soit prévue ou pas dans le contrat. Les 3 premiers jours d’un contrat d’occupation étudiant constituent toujours une période d’essai.

Attention donc aux employeurs qui veulent que l’étudiant fasse une journée d’essai sans contrat, c’est du travail au noir et l’étudiant ne sera pas couvert pour les accidents (s’il travaille sur une machine par exemple). De plus, il ne sera vraisemblablement pas payé pour sa journée d’essai et ne sera même pas en mesure de prouver qu’il a travaillé à l’essai. Le seul test que l’employeur est susceptible de faire passer avant la signature du contrat est le test de recrutement (voir ci-dessous).

Depuis novembre 2022, la loi interdit explicitement les périodes d’essai successives lorsqu’un étudiant occupe la même fonction au fil de contrats d’étudiant successifs. Cette mention contractuelle est une obligation découlant de la Loi du 7 octobre 2022 transposant partiellement la directive (UE) 2019/1152 du Parlement européen et du Conseil du 20 juin 2019 relative à des conditions de travail transparentes et prévisibles dans l’Union européenne.

Suspension de la période d’essai

La durée de la période d’essai ne peut être prolongée, même en cas de suspension de l’exécution du contrat de travail durant la période d’essai (en cas de maladie ou d’accident).

Licenciement pendant la période d’essai

Pendant les 3 premiers jours, l’employeur comme l’étudiant peuvent résilier le contrat sans préavis et sans indemnité, à la fin de la journée de travail. Après ces 3 premiers jours, tant l’employeur que l’étudiant devront respecter les règles légales de préavis si le contrat est rompu avant son terme.

Les tests de recrutement

De nombreuses entreprises procèdent à des tests de recrutement avant d’engager un étudiant.
Ces tests ne doivent pas être confondus avec la période d’essai de 3 jours prévue automatiquement dans un contrat d’occupation étudiant.

Un test de recrutement est destiné à évaluer les capacités, les compétences et parfois la personnalité du travailleur pour l’emploi pour lequel on veut l’engager. Il se situe donc bien avant la signature du contrat de travail. Le test ne doit pas être rentable pour l’entreprise, ni rémunéré.
Ce test doit avoir une durée proportionnelle aux capacités que l’employeur veut évaluer. Il doit durer quelques heures et pas plusieurs jours. L’employeur peut par contre prévoir de répartir plusieurs heures sur quelques jours.

Exemple : Un employeur demande à un étudiant de venir faire un test afin d’évaluer ses connaissances informatiques étant donné que le job proposé consiste à encoder des données dans un ordinateur.

Un document doit être fourni par l’employeur au travailleur. Ce document doit mentionner la durée du test, qu’il est fait pour évaluer les capacités du travailleur et qu’il est non rémunéré et non rentable pour l’entreprise. Ce document n’est pas un contrat, mais il doit être signé par les deux parties en guise d’accord et de preuve.

Si le test s’avère rentable (pendant un ou plusieurs jours) et est rémunéré par l’employeur, il peut s’agir d’un contrat de travail oral à durée indéterminée. Les règles relatives à un contrat de travail ordinaire s’appliqueront dans ce cas. L’employeur peut se voir infliger une amende en cas d’inspection durant un jour de test, s’il s’avère que le travailleur n’a pas signé de contrat de travail ou de document prouvant le test n’est pas rentable pour l’entreprise.

Le fait qu’un étudiant soit testé en étant placé à la caisse d’un magasin pendant une journée ou une après-midi n’est clairement pas un test de recrutement mais un « essai » illégal. Le travail du jeune à la caisse profite en effet à l’employeur et le jeune qui n’a signé aucun contrat effectue donc un travail au noir sans aucune garantie de rémunération. Dans ce type de situation, lorsqu’un jeune étudiant s’est « fait avoir », il est conseillé de contacter le Contrôle des lois sociales de sa région pour porter plainte.

Voir aussi :

MAJ 2025